Avec un joli système de balancier electro-mécanique.
Le gros condensateur ( je crois) envoie du jus dans les deux gros barreaux fixes de chaque coté du balancier qui supporte un aimant en forme de trèfle à trois feuilles. Attirant le balancier un coup dans un sens, un coup dans l'autre. Le ressort spiral fait son boulot d'emmagasiner-rendre de l'énergie. Et en dessous, il y a un axe avec deux rampes qui font tourner gentiment la roue dentée en nylon, dent par dent. Ce type d'échappement doit avoir un nom, mais je ne le connais pas. La roue en nylon est sur un axe avec une vis d'archimède, puis un second axe est entrainé vers la roue de centre.
La vis à la tête rouillée au dessus sert pour le réglage de la longueur utile du spiral exactement comme dans une montre normale.
Une fois propre, c'est mieux, non? (7 minutes ultrasons bain Elma 1:9, puis 4 minutes ultrasons à l'essence C, puis séchage en plein air. )
Ne me reste plus qu'à lui trouver un verre, et la remettre dans son tableau de bord.
On voit ici la cosse avec sa protection verte, car le courant arrive à la cosse, mais la masse est faite par le carter, en contact avec le tableau de bord...
La mise à l'heure se fait en passant la main derrière le tableau de bord, et poussant sur la tige centrale qui vient embrayer directement sur l'axe de la roue de centre. On voit la petite vis de réglage avance/retard.
Voilà, cela change un peu des montres de poignet, ou de gousset.