Il paraît, mais dans mon cas, j'étais devant!
J'ai eu le réflexe de prendre le premier torchon, de l'imbiber d'eau pour éviter qu'il brûle, je l'ai balancé par dessus mais il était trop petit pour couvrir la flaque en entier...
Ma salle de bains à l'époque était à 2 mètres, donc c'était simple.
J'ai refait la même avec un grande serviette de bain et c'était plié, parquet à peine chaud.
Je me demande finalement si simplement laisser faire aurait pu mettre réellement le feu au parquet d'ailleurs...
Parce que, par exemple, quand je n'ai plus de gaz, comme c'est le cas depuis un bon mois en cette période de confinement et que j'ai nulle part où en acheter, je me bricole une petite lampe à alcool avec un tube, une sorte de bouchon en caoutchouc au diamètre, et un tasseau de potence à chasser les verres en alu qui rentre pile dans le tube.
J'imbibe un bout d'essuie tout dans de l'alcool ménager que je mets dedans, histoire de bosser avec la quantité d'alcool minimum requise pour pas être emmerdé si ma onzième main gauche renverse la lampe en éternuant sur l'ancre en cours de gommage.
Et en fait, l'essuie tout reste quasi parfaitement blanc tant qu'il y a de l'alcool, il ne se consume pas du tout, même en laissant la flamme dix bonnes minutes.
Théoriquement, l'alcool sur le parquet devrait empêcher le parquet de brûler.
L'alcool brûle à la place du parquet, et s'il chauffe trop s'évapore en même temps qu'il brûle.
Évidemment, le parquet chauffe aussi mais jamais au dessus du point d'ébullition de l'alcool.
Pour qu'il puisse brûler il faudrait qu'il soit directement au contact de la flamme, ce qui n'est dans ce cas, jamais le cas.
Cependant, même si j'aime bien les tests empiriques, je n'ai pas envie de réessayer pour savoir
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