Quelques photographies curieuses, pour passer le temps, d'un mouvement ETA 2651.
Il est un mouvement plutôt petit, automatique, avec 17,2 mm diamètre et 21.600 Alternances/heure.
Ce link donne plus d'information sur le mouvement
http://www.ranfft.de/cgi-bin/bidfun-db.cgi?10&ranfft&&2uswk&ETA_2651
Ceci est la platine où on doit être le tout monté.
J´ai l´habitude de placer d'abord les rubis de l'antichoc.
Sur la première image, la contrepierre a déjà son petite goutte d'huile.
Une vue général des pièces du mouvement. Il manque la platine et le barillet.
La tije, qui est tout seule dans une département, elle est cassée par l'oxyde.
Le train de roulement. Seulement avec ces quatre roues, et celle du canon de minutes, de l'autre côté, on parvient à transformer les 21.600 alternances du balancier, à le virement de des aguilles de la montre.
Le pont de roulement et le barillet avec son pont.
Dans ce mouvement, c'est le rochete de couronne celui qui porte le cliquet.
La forme de l'axe de ce rochete lui permet de tourner collé à l'extrémité de la flèche rouge ou de celui de la bleue, ainsi il peut être engrené avec l'autre rochete ou de tourner avec liberté.
Avec cet assemblage on obtient que, quand il tourne le rotor, la couronne de la montre ne tourne pas avec lui (elle serais, certainement, très gênant)
Pour que ceci fonctionne, on a besoin qu´un ressort pousse au rochete vers la position de la photographie. Donc bien, ce ressort est le même que celui qu'il fait de cliquet et à la même fois, il pousse au rochete à sa position engrenée.
Il a une partie courte et robuste (flèche rouge) et une autre mince, longue et flexible (flèche bleue)
À l'image suivante, sont déjà placées les deux rochetes. Aussi, en la partie plus bas, nous voyons placée l'ancre. Ses limites de fonctionnement, sont placées dans leur pont et non dans la platine.
Il s´agit d'un pont fermé, avec la forme de "O", mais avec seule vis.
Sur les images suivantes on voit à sa place le balancier avec son pont.
Dans la première photographie, sans ses rubis, on apprécie que l'orifice pour l'axe, dans l'antichoc, n'est pas beaucoup plus grand que l'axe. Celui-ci serait la limite pour se déplacer, l'axe du balancier, sans se casser.
Le balancier ne tourne pas très vite sans ses pierres.
Maintenant, avec ses rubis, le balancier tourne déjà avec plus de gaie.
En tournent la platine, maintenant par le côté du cadrant, pour mettre le remontoir et le calendrier.
Une séquence de l'assemblage du remontoir.
Dans la seconde photographie, les trois flèches se correspondent à une seule pièce. Cette pièce est celle qu´amène le mouvement vers la mise à l'heure ou vers le pas rapide de date, quand elle est déplacée par le tirete.
Le tirete, dans la quatrième image de la série, a aussi deux flèches, celle d'indique en haut est la partie qu'elle pousse à la pièce avant dit (mise en heure- pas rapide de date) et celle de le bas, elle pousse à la bascule et cette a le pignon glissant.
Ainsi, ils sont les trois les positions de la couronne : Remontage, mise à l'heure et passage rapide de la date.
Dans la 5ª image, aussi avec deux flèches, le ressort du tirete. Une des pièces qui plus de fois se "satellisation" (sortir lancé en orbite, comme un satellite)
Sur l'image suivante, pour compenser la lenteur des précédentes, nous mettons 6 roues tout de coup.
Celle à droite, de vers le bas, est le passage rapide pour la date.
Les deux à gauche et en haut sont pour la quantième.
Juste sous l'inférieur à gauche il y a un rubis, il est pour la roue du train de roulement que transmet le mouvement au canon de minutes, qui est la roue du centre de l'image.
Celle de la droite sur le centre est un renvoie de la mise à l'heure et celle d'en haut, est la roue de minutes avec le pignon d'heures.
L'image suivante a déjà le disque des jours et les plaques qui soutiennent à toutes les pièces. À l'entaille correspondante al jour 12, on se montre un autre ressort, il est celui qui retient al disque des jours, á sa position centrée.
Il ne manque déjà que de monter le remontage automatique.
Celles-ci sont ses roues. Les deux en haut, ils sont les célèbres roues d'inversement . Chaque roue d'investissement a, au moins, 7 pièces, deux d'entre elles sont rubis. Par ce côté, elles sont très jolies.
Les roues montées. Les roues d'inversement, par la derrière, ils sont moins jolies.
Avec son pont déjà monté
Le module de remontage automatique, déjà de l´autre cote, et monté sur la montre. On voit seulement ses roues par ses bords.
La même chose, mais avec le rotor à sa place, et déjà dans la montre.
Le mouvement est pris, avec deux vis (on voit seulement une sur le 2 h.), dans un anneau qui le maintient à sa place
La tije s'est cassée par l'oxyde, au ras de la couronne. Une partie d'elle est restée, donc, dedans de la couronne.
J'ai acheté une nouvelle tije, mais je mettrai la même couronne qu'elle portait.
Comment on fait sortir les restes de la tije oxydée de l'intérieur de la couronne ? Il est très facile. La solution, dans deux ou trois jours.
Celui-ci est la montre que porte ce mouvement. Le verre, qui est minéral, est assez rayé. Je dois chercher un certain matériel avec lequel on peut le polir un autre fois.
Comme toujours, j'espère que vous ayez aimé
et aussi, que la grammaire et l´orthographie ne soyons pas très fâchées