naan un cartel !

une belle bête!

La marquetterie est semble t-il parfaite.


et in ?
De qui est il ?

La première photo est faite en marchant ?

En parlant de cartel, en voici un que j'avais eu en restauration il y a quelques années. Signé Charles Leroy, échappement à verge, sonnerie heures/demies/quarts passage et demande (voir cordeau d'armage).
Désolé pour la qualité de la photo, mais c'était il y a 5 ans déjà et je venais tout juste d'acheter l'atelier.

Plus petit.
Plus récent.
Plus aux quarts!

Et Leroy ne gache rien .

Une petite nuance de marquetterie qui peut compenser les 1/4 .
Tout dépend pour qui... des clients découvent la particularité technique et sa rareté, que si on leur explique.

2 belles pièces représentatif du 18 eme.

C'est un mouvement à coq, dans le cartel ??
L'écartement des remontoirs des deux barillets semble très petit .....
Une photo du mouvement serait la bienvenue.
Marrant aussi cette petite clé sur le coté ................

Plus petit, peut-être, mais il faisait tout de même plus de 80cm de haut sans le chapiteau.
Je n'ai qu'une photo "immonde" de la mécanique (appareil 1,2MP à l'époque ). Je vais essayer de la retrouver.
Pour Arno, ce n'est pas un mouvement à coq, mais un échappement à verge (roue de champ, roue de rencontre et palettes), comme dans une montre à coq en effet. Mais le mouvement est de forme carrée sans balancier annulaire.
L'écartement "semble" petit, mais il est beaucoup plus important que sur un mouvement de Paris. L'écartement aurait été plus prononcé (sur les cartouches) s'il avait été plus ancien encore.
La clé sert au verrouillage de la porte avant.

Voici la seule photo et encore désolé pour la qualité.

reparatheure a écrit:

Plus petit, peut-être, mais il faisait tout de même plus de 80cm de haut sans le chapiteau.
Je n'ai qu'une photo "immonde" de la mécanique (appareil 1,2MP à l'époque ). Je vais essayer de la retrouver.
Pour Arno, ce n'est pas un mouvement à coq, mais un échappement à verge (roue de champ, roue de rencontre et palettes), comme dans une montre à coq en effet. Mais le mouvement est de forme carrée sans balancier annulaire.
L'écartement "semble" petit, mais il est beaucoup plus important que sur un mouvement de Paris. L'écartement aurait été plus prononcé (sur les cartouches) s'il avait été plus ancien encore.
La clé sert au verrouillage de la porte avant.

Désolé, mais je fais allusion à la marquette Boulle, pas à la pièce que tu as présentée.
Pour reprendre ce que tu dis, il est évident que sur mouvement carré, l'écartement des barillets est plus importants.
Et sous L.XIV, que ce soit sur une "religieuse" ou une "tête de poupée", c'est encore plus criant de vérité.
C'est d'ailleurs comme ça que l'on repère d'un seul coup d'œil l'époque d'un cartel : à l'écartement des remontoirs, dont les NAP III sont montés avec des mouvements de Paris, et les NAP III un peux mieux, avec des Morbier améliorés.
Mais on peut aussi se planter, et être face à un cartel avec petits écartement de barillet, et il peut être "tout bon".

ceci dit, un cartel d'origine à verge et roue de rencontre ( voir mon avatar), étant bien souvent transformé à ancre, nécessite forcément l'ouverture pour savoir à quel sauce il est.

fly back a écrit:

ceci dit, un cartel d'origine à verge et roue de rencontre ( voir mon avatar), étant bien souvent transformé à ancre, nécessite forcément l'ouverture pour savoir à quel sauce il est.

Certes, et c'est bien ce que je précises.
Mais dans 99% des cas, petits écartements = NAP III.
après, reste l'exceptionnel : petits écartements, et tout bon XVIII eme.

Tel est le cartel !

Même règle pour l'applique...coté mouvement.

Coté origine, les faux sont plus nombreux que sur consoles, même dans ceux présumés bons à verge , mais 19 eme.

sacrés bronziers.

fly back a écrit:

Tel est le cartel !

Même règle pour l'applique...coté mouvement.

Coté origine, les faux sont plus nombreux que sur consoles, même dans ceux présumés bons à verge , mais 19 eme.

sacrés bronziers.

Coté mouvement, je peux encore me faire planter.
Mais pas coté bronzaille.
Même si qqs bronzes d'ameublements, issus de gens comme Krieger, Dasson, Lincke ou Tahan, voir encore des plus balaizes, on patine qqs moments, mais on arrive à les cerner.
Et si, comme dans le cas de Tahan, et Dasson la plupart des bronzes étaient dorés au feu, on arrive à les "faire parler".
Aprés il y a les éléments redoutables.
Un cartel dans l'esprit Boulle, mais exécuté au XVIIIeme par Levasseur, ( ou son entourage ) et monté avec de la bronzaille XVIIeme.
Le premier indice dans un bronze ancien, c'est la dorure.
Au XVII et début XVIIIeme, ces dorures sont trés grasses, épaisses, avec des reflets tirant sur le rouge, mais en revanche la ciselure et trés ronde.
A l'inverse des grands ciseleurs de la fin du XVIII et début XIXeme, tel Gouthiére ou Thomire, ou les ciselures sont étincelantes, et quasi coupantes.
Mais la bronzaille est redoutable, et en plus j'ai une main de "momie" avec cette came !!!