News : Urwerk UR-CC1 « King Cobra »

Horlogerie-Suisse.com a écrit:

Sur la UR-CC1, deux lignes horizontales. Deux cylindres – l’un pour les heures, l’autre pour les minutes. Ne vous méprenez pas sur l’apparente simplicité d’un tel affichage. Il a requis plus de trois ans de développement et nécessitera trois années de production.

Une triple came verticale et un segment denté (visibles sur la tranche de la UR-CC1) assurent la rotation du cylindre des minutes.
Le cylindre des minutes effectue une rotation de 300° de zéro à soixante minutes. Arrivé au marqueur des 60 minutes, le cylindre est ramené à sa position d’origine en 1/10ème de seconde par un fin ressort extra-plat. Ce mouvement rétrograde des minutes provoque l’avancée du cylindre des heures d’une unité.
La triple came est réalisée en bronze béryllium, un métal connu pour ses propriétés autolubrifiantes et son faible coefficient de friction. Elle prend la forme de trois mini-triangles à pente aigue. Cette triple came assure la trajectoire du segment denté relié au cylindre des minutes.
La triple came effectue une rotation complète en trois heures, chaque came permettant la rotation du cylindre des minutes du marqueur 0 à 60minutes.
Cent quatre points de référence ont été calculés pour déterminer l’angle parfait de chacune des trois cames.

Le segment denté relie la came au cylindre des minutes. Il présente deux propriétés à première vue contradictoire. Il se doit d’être parfaitement rigide afin de transmettre fidèlement le mouvement de la triple came au cylindre des minutes et extrêmement léger afin de consommer le minimum d’énergie possible.
Cette pièce sensible a été exécutée par la maison Mimotec grâce à son tout nouveau procédé de photolithographie. Réalisée en silicium, elle présente une structure en nid d’abeille lui permettant de réunir les deux conditions dureté et extrême légèreté.
le cadran de la UR-CC1 est animé, en première mondiale, d’une seconde digitale. Elle affiche les chiffres pairs des secondes. Pour réaliser cet exploit technique, la pièce a été usinée en silicium par la compagnie Mimotec.
La UR-CC1 bénéficie de la technique de frein pneumatique du « rotor fly brake », une hélice reliée au rotor de la montre. Ce système protège le système de remontage automatique des chocs trop violents et assure une meilleure longévité de la pièce. Le « rotor fly brake » est apparent sur le flanc de la UR-CC1.

Comme toujours, Urwerk, moi, j'aime!!!

belle pièce!!
j'aime beaucoup Urwerk moi aussi!!

Toujours aussi fascinantes les pièces Urwewrk.

J'aime ces conceptions décalées mêmes si ce sont des mouvements pas tant inédit que ça, c'est bon de voir des OHNI (Objets Horlogers Non Identifiés ) au moins pour les yeux parce que pour le porte monnaie ...

Superbe et homogène au poignet

moi qui suis un grand fan d'Urwerk, j'avoue avoir du mal à adhérer au concept d'affichage.
la hiérarchie des informations me semble étonnante et pas très intuitive.
Et puis j'ai pas trop compris l'histoire de cette seconde, l'affichage est sautant? Une sorte de seconde morte digitale qui saute toutes les deux
secondes?
Je ne vois pas trop l'intérêt de cette seconde qui prédomine sur les indications des heures et minutes...

mouaip, décidément

Merci pour l'info !

Je suis fan des deux premiers modèles (la 103 et la 202) et quand je dis que je suis fan... je me verrais carrément bien avec une Urwerk au poignet !

Par contre là, j'ai beaucoup plus de mal. Je veux bien croire qu'effectivement cet affichage est une prouesse technique, mais je trouve la lecture moins aisée que sur les autres modèles de la gamme.

Donc je suis soulagé, je peux continuer à hésiter entre la 103 et la 202, je ne dois pas y rajouter la UR-CC1 en troisième possibilité..... Ouf !

Emmanuel

Beaucoup trop classique pour moi cette montre....

Euh, je voulais dire, je suis beaucoup trop classique pour cette montre

Si tu ne va pas à Tokyo Flash, Tokyo Flash ira à toi.

La montre de Sankoukai
Une horreur.

La technique est certainement très intéressante, mais je n'accroche pas sur le design.

autant je trouvais les précédentes originales et interessantes, autant là c'est la misère...illisible et design plus que douteux
on croirait un compteur geiger de poignet

je ne comprends pas à quoi sert l'aiguille en haut à gauche graduée jusqu'à 60, si les secondes sont affichées en digital en haut à droite ?

Merci pour l'info, Dude.

Mais comme d'autres ici, j'étais fan des modèles précédents (ahhhh, la tarentula), mais celui-ci ne m'interpelle pas, mais alors pas du tout. Tant pis, je l'acheterais pas

à quoi sert d' avoir une mini radio au poignet? quel est le prix de cet objet contre nature svp?

C'est une compteur geiger intégré?.... Une complication intéressante pour ma filière professionnelle!


Je suis d'accord avec Toutatis, : pour la technique, : pour le look!

j'ai toujours été admiratif des urwerk, pour la technique, mais aussi pour le design qui ne ressemble a aucune autre montre.
Je doute que l'heure soit facile a lire et que ce soit portable au qutidient, mais qu'est ce que c'est beau !

PS: existe t-il d'autre version ? en or rose par exemple ?

comme j'ai l'habitude de dire qu'on n'est jamais aussi bien servi que par soit même. Voici les différents coloris ( pas d'images dsl)

Citation :

Case : available in either grey gold with titanium baseplate (limited edition of 25 pieces) or black gold with titanium baseplate (limited edition of 25 pieces); brushed-satin finish

francis28 a écrit:

La montre de Sankoukai
Une horreur.

+1

Kartmannovice a écrit:

J'aime ces conceptions décalées

Moi aussi. Mais en revanche les photos au porté... j'hésite entre une Diesel et une TokyoFlash...
C'est très subjectif, certes...

Je ne trouve pas que l'on sent la haute horlogerie sur cette pièce, contrairement aux derniers opus de la marque.
Cette montre fait pièce bon marché 70', malgré son excellente facture.
Un peu torturé, les fonctions sont étrangement dans l'inverse de leur hiérarchie respective: fonction secondes mise en exergue, suivi des minutes et heures tout à la fin, écrasées par le reste.
La pièce d'inspiration, la king cobra de Patek était parfaitement lisible, elle.
Je ne trouve pas cette pièce innovante, juste un remake raté ayant mal vieilli.
Mais c'est mon opinion, rien d'autre...
Et la boîte, super torturée...

Ressort boudin inadmissible en horlogerie sur une montre de cette gamme !?!
Pour le reste , on adore ou on déteste ...

c'est , il faut oser ce design, par contre pas pour moi, je trouve aussi que porté ça fait trop Diesel ou Fossil

Elle est sympa et reste portable ce qui n'est pas le cas de toutes les pieces aussi avant-gardistes

Urwerk a toujours des affichages innovants et originaux, et j’aime bien cette marque.

Cette fois ci il nous réinvente des compteurs type années 60, dans le style voiture américaine, Renault 16, ou Citroën ID/DS.

A voir car elle semble beaucoup moins intuitive et le design bien chargé a priori.