ZEN
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 | | Sujet: La section Horlogerie de l'Institut d'enseignement namurois 7/9/2006, 06:55 | |
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- La section Horlogerie de l'Institut d'enseignement namurois est à l'heure du renouveau.
L'école est la seule à l'organiser dans le Benelux.
Jour de rentrée, hier, à l'Institut d'enseignement des Arts, techniques, sciences et artisanats (Iata) à Namur. La majeure partie des élèves a repris la direction de la rue de la Montagne où est perché l'établissement. L'établissement atteint cette année 1 500 élèves, soit 70 de plus par rapport à l'an dernier. Il est difficile de rester en panne d'idées, au terme de la visite de cet établissement.
Véritable caverne des métiers manuels, l'Iata organise, outre les deux premières années rénovées, des sections techniques et professionnelles touchant aux arts appliqués, à l'ébénisterie, à la gravure-bijouterie, à l'horlogerie, à l'industrie graphique-imprimerie, aux multimédias, à la technique de bureau, au garnissage, au français parlé...
«Toutes les sections ont pu être sauvées, comme celles de garnisseur-tapissier un peu à la traîne ou encore les 7 éme sannées de complément de formation en images de synthèse et multimédia qui souffrent de la concurrence de l'enseignement supérieur», se réjouit Léon Dachelet, le directeur. Mais d'autres options contribuent véritablement au succès de l'école: comme l'horlogerie que l'institut namurois est le seul à organiser sur le marché du Benelux.
«L'option compte quelque 80 élèves. On y vient de Flandre, du fin fond des Ardennes, mais aussi du nord de la France... D'où la présence d'un internat au sein de l'école, qui affiche complet. Le marché de l'horlogerie a été branché sur les montres à jeter. Mais aujourd'hui revient en force la montre mécanique. Les étudiants peuvent aussi travailler dans la microtechnique, commente M.Dachelet. On est devenu excessivement européen, via des échanges de professeurs et d'élèves lors de stages. Des métiers de tradition comme l'ébénisterie, l'horlogerie, la joaillerie attirent des jeunes qui ont l'opportunité de reprendre un atelier d'artisan ou un commerce familial. Ces mêmes options offrent aussi l'application de technologies nouvelles de l'informatique.»
Interdit de fumer
Autre nouveauté pour les élèves, cette année: l'interdiction de fumer. «Chez nous, cette interdiction est déjà entrée en vigueur, l'an passé», commente-t-on à l'Iata: pas question de fumer dans les locaux ou sur le campus. Cela dit, l'établissement n'a pas voulu reporter le problème dans les rues adjacentes menacées de devenir un dépotoir de mégots. Et comme l'Iata a la chance de bénéficier, en dehors du campus, d'un parc, sorte de zone tampon providentielle, il a été décrété en bonne entente avec le conseil de prévention, que les étudiants pouvaient y fumer en déambulant. 6 septembre 2006 http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&subid=1104&art_id=304298
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Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).
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