Plus de 400 invités au dies academicus à Neuchâtel

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Plus de 400 invités ont assisté au dies academicus à Neuchâtel
ATS - 04.11.2006



BERNE - Plus de 400 invités ont assisté à Neuchâtel au dies academicus de l'Université, qui marque la rentrée académique 2006/2007. Dans son allocution, le recteur Alfred Strohmeier a dressé un bilan de ses deux première années à la tête de l'institution.

Il a évoqué notamment les progrès effectués dans la réalisation du "plan d'intentions" prévu pour l'Université. Outre l'intégration effective de l'institution au système de Bologne, il a rappelé le travail accompli dans la création d'un master rattaché à la future Maison d'analyse des processus sociaux (MAPS).

En outre, selon le recteur, l'Institut de microtechnique (IMT) va instituer un laboratoire temps-fréquence, en collaboration avec l'Observatoire cantonal de Neuchâtel. L'Université prévoit la création d'un "master en horlogerie avancée" dans cette discipline liée à la recherche sur les horloges spatiales et atomiques.

Le recteur s'est réjoui aussi de la reconnaissance croissante dont bénéficie l'Université en tant que centre de compétence dans les micro et les nanotechnologies. Selon lui, la forte hausse du nombre de nouveaux étudiants à la rentrée 2006/2007 témoigne globalement de l'attractivité de la haute école neuchâteloise.

Par ailleurs, trois personnalités ont été reçues docteur honoris causa à l'occasion du dies academicus. L'ancien ministre italien de l'intérieur Giuliano Amato a ainsi été honoré pour sa contribution au travaux de la Constitution européenne. Ce professeur de droit constitutionnel entretient des liens avec Neuchâtel.

L'égyptologue français Jean-Yves Empereur, rendu célèbre par les fouilles qu'il a menées à Alexandrie, a également été reçu docteur honoris causa. Ancien membre jurassien de l'Université, Maurice Kottelat a obtenu quant à lui le titre honorifique pour ses travaux sur les petits poissons, qui font aujourd'hui référence

http://www.letemps.ch/template/static.asp?ats=20061104113451417219481070000.xml

d'ailleurs, Jean Yves Empereur, fidèle à ses fouilles curieuses, aurait déclaré en fin de congrès, enthousiaste, : "quel grand bonhomme ce recteur !" ...

voilà

Je la note celle-là

Jules

J.Y. Empereur, c'est celui qui vide ses fouilles dans des petites caisses ?

Peut-être, mais je crois qu'il a le choix dans la date.