La marque bénéficie d'un grand article dans la revue des montres. Il y a une question qui me turlupine. L'un des modèle a un double rotor et en arrière plan on voit une pièce rouge ... Dans quelle matière est cette pièce ???.
Pour le reste Vincent Daveau balaie un peu vite la thése Sarton et dit n'avoir vérifié aucune thése ... C'est effectivement un travail de journaliste . Monsieur Daveau ajoute qu'il ne sra pas ici( dans son article) question de trancher le débat... L'auteur indique encore se limiter à rapporter la vie du sieur Perrelet . Soit , mais il explique ensuite que Perrelet a inventé une montre dite "perpétuelle" capable de se remonter indéfiniment ...
Il y a là une contradiction au moins d'écriture du style "je ne sais rien, je ne dirai rien mais j'affirme que ..."
J'avoue que Joseph m'a troublé avec la thése, que dis-je la démonstration Sarton et que si je suis prêt à admettre pourquoi pas, une thése inverse, par contre, je suis assez géné de lire une telle annonce de neutralité par Vincent Daveau suivie 20 lignes plus loin d'une affirmation si favorable.
Sarton ne sera jamais un annonceur pour une nouvelle collection et la maison Perrelet se réjouira de voir celui dont elle exploite le nom ainsi mis en valeur mais pour autant même en restant ouvert à tous les effets de style, affirmer un un principe de non engagement et passer à des affirmations me laisse perplexe.
A bon entendeur .
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Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).