Un pied photo, déclenchement retardé (pour éviter le flou de bouger), objectif ou compact macro à f/8 ou f/11 (pour avoir une bonne profondeur de champ), compression minimum, une boîte à lumière bricolée avec du papier blanc et une agrafeuse, une paire d'halogènes, un peu d'attention pour éviter les reflets et c'est parti !
Pas de lumière solaire directe, ni de lampe sans diffuseur : les capteurs des numériques n'aiment pas les reflets spéculaires et générent artefacts (lignes brillantes) et fridging (frange violette si éblouissement).
Et hop, voilà le travail avec un pauvre compact Fuji E900 :
Après commence le plus dur, la longue reprise sous photoshop pour nettoyer l'image. Enfin si on n'est pas un goret comme moi