si l'on se couche tôt, 22h par exemple (très tôt, certes), que l'on a une montre seiko genre samurai (date seulement donc, pas "day") et que l'on se réveille, disons vers 23h30, malencontreusement incommodé par une terrible envie de "pisser" et que, comble de la pathologie horlogère, il nous passe par l'esprit de regarder notre montre, l'angoisse et le vertige nous prend : la tête d'un 31 se trouve sadiquement séparée du tronc d'un 30 (à moins que ce ne soit l'inverse), moyennant un intervalle blanc digne des plus beaux trous noirs. je vous le concède, chers lecteurs noctambules, le mc calahan est un facteur agravant.
je vous épargne le même récit avec un seiko day-date ; l'angoisse se trouve amplifiée d'un facteur glen & brothers.
cela dit, et toutes choses égales par ailleurs, voici ma question : cela suppose-t-il un travail horloger:
a. relatif
b. alcoolique
c. très important
d. p***** c'qu'il est con ce tuctuc
de faire en sorte que le changement de date se fasse entre 23h45 et 00h15 ou entre 22h et 03h00 ?
merci de votre attention, de votre écoute et de votre patience, bonne nuit et vive le bon whiskey avec du lindt 99%.