Trouver son style . Les commandement du marketing.

Quelques règles à respecter pour exister aujourd'hui et tenir sa "part de marché"



L'élèment qui tape à l'oeil, s'incruste dans la mémoire va très vite contribuer à identifier, reconnaitre et finalement à s'imprégner d'une marque. Le style "plongée" c'est Rolex, l'open c'est devenu ZENITH, La montre instrument c'est Breitling mais Bell & Ross essaie de s'y placer, BRM, Silberstein, Chanel...tout le monde a compris qu'il faut se faire remarquer pour exister.



Ensuite il faut à la marque communiquer en démontrant un savoir faire horloger "Mouvement Manufacture", mouvement exclusif ...L'idée est de démontrer une réelle différence avec les autres et une certaine indépendance(dans la réalité toute relative). Il existe une trentaine de manufactures ou assimilables.


Là, il faut faire des complications. La complication du moment est le tourbillon mais d'autres méthodes permettent à moindre coût de démontrer une certine complexité des mouvements. C'est la technique qui consiste à ouvrir les cadran. Zenith, F Constant, Swatch même pour différencier les quartz des autos l'a fait. On peut multiplier les complications sur une même montre pour passer encore à la vitesse supèrieure comme Patek ou Vacheron Constantin le font.

b]

Se rattacher aux racines, s'ancrer est d'une importance capitale. Un peu négligé par certaines marques (ZENITH notamment ) cet ancrage est essentiel. C'est toute la légitimité historique, le savoir faire accumulé qui placent la marque résolument dans la tradition techologique, démontre sa maitrise du temps dans le temps.

Heuer, Omega avec son musée et son site , Breitling , Breguet, Patek qui a fait un superbe musée ...Chacun y va de son ouvrage historique et de l'histoire racontée ou de la légende cultivée.
Même tissot s'y est mis avec beaucoup d'intelligence au travers du livre d'Estelle Fayet.
Rééditer un vieux modèle est excellent pour l'image et si on n'en a pas parce qu'on est trop jeune, il faut créer et lui donner un look à l'ancienne.


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60% des montres sont achetées par des femmes qui interviennent dans 40% des achats des montres d'hommes. Grégory Pons dans les Echos souligne l'importance de la séduction des femmes par les marques. il faut faire avaler le prix de la montre du mari...


Avec cette recette, ça doit marcher...enfin il faut quand même donner l'heure....

Bonjour Zen

je ne trouve pas l'article en question sur le site des échos... en auriez-vous par hasard conservé une cope électronique ?

Merci beaucoup

ya

C'est un article extrait d'un numéro special paru cette semaine, je ne pense pas que ce soit sur le site des Echos car ces numèros sont faits par des agences spécialisées.

Amitiés