Le Chronographe de Wyler Genève

Le Chronographe de Wyler Genève

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Le Chronographe de Wyler Genève

21 Mars 2007

Edition limitée de 3999 chronographes pour rendre hommage, en interne comme en externe, au génie précurseur de l'horloger Paul Wyler

La prestigieuse marque horlogère Wyler Genève présentera au Baselworld 2007 une édition limitée de 3999 chronographes pour rendre hommage, en interne comme en externe, au génie précurseur de l'horloger Paul Wyler, qui a fondé la société en 1896. Le Chronographe Wyler Genève est doté d'une triple protection constituée de l'invention la plus significative de Wyler, le balancier Incaflex, associée à un boitier contemporain antichoc et un type de protège couronne unique dans le monde de l'horlogerie.

Le premier composant de la triple protection Wyler Genève est le boitier dont la conception moderne représente un chef d'œuvre de miniaturisation mécanique. Le mouvement proprement dit est niché dans un boitier en titane, lui-même enchâssé dans une fibre de carbone léger, mais ultra résistante. Les composants individuels du boitier de la montre, disponible en or rose 18 carats, platine, titane ou acier inox, sont vissés sur le cadre central qui est amorti par de minuscules ressorts, à l'instar des essieux de voitures suspendus sur le châssis par des amortisseurs.

Inspiré par un tel parallèle avec l'automobile, l'esthétique du Chronographe de Wyler prend également exemple sur le monde de l'automobile. La couronne, par exemple, est du même métal que le boitier, mais a été recouverte de caoutchouc cranté rappelant un pneu de voiture. Le caoutchouc offre également une meilleure préhension que les couronnes métalliques habituelles. Les poussoirs du chrono, en forme de pédales de voitures, prolongent le thème automobile et le bracelet en caoutchouc gravé du W de la marque rappelle également le profil d'un pneu. Sans compromis en terme de solidité, des vis en titane ont été utilisées pour fixer la boucle au bracelet, lui-même inséré directement dans le boitier et tenu par des vis traversant le dos du boitier. Le deuxième élément du système de triple protection offre encore plus de protection: un protège-couronne inédit arborant la marque Wyler protège la couronne contre les chocs et doit être tiré de chaque côté avant tout réglage.

Le cadran fourmille de détails qui font du Chronographe Wyler une montre indéniablement haut de gamme. La face, disponible en noir (et argent pour les modèles en inox) est divisée en une zone intérieure et une zone extérieure offrant des surfaces brossées contrastantes. Tous les éléments sont en applique sur cette face, depuis le marqueur extérieur des minutes et le pourtour du chrono, jusqu'aux chiffres arabes individuels et la marque Wyler. Des aiguilles facettées dans le même métal, dont l'extrémité est recouverte de SuperLuminova luminescente, complètent le concept tout en offrant une clarté excellente. Le cristal saphir antirayure garantit que rien ne viendra ternir l'aspect de la montre.

On doit l'excellence de cette montre à un calibre de chronographe éprouvé avec remontage automatique, disposant d'une réserve de marche de 42 heures et équipé du balancier Incaflex Wyler original, le troisième élément du système de triple protection. Jugé révolutionnaire au moment de son invention en 1927, le balancier Incaflex de Wyler intègre deux bras flexibles courbes qui relient l'extérieur au centre et absorbent ainsi les chocs subis par la roue. L'aiguille du chronographe central affiche le temps écoulé au quart de seconde près, alors qu'une petite seconde à 9 heures et un guichet à date à 4 heures complètent le cadran. La masse oscillante, spécifiquement conçue par Wyler, qui récupère les mouvements de poignet de l'utilisateur pour faire fonctionner la montre, est en métal lourd noirci. Ce signe distinctif est mis en valeur par des arêtes biseautées et des guichets taillés dans la masse, tous plaqués rhodium.

Encore plus remarquable que son design est le fait que cette édition limitée exclusive sera la dernière montre de Wyler Genève utilisant le balancier Incaflex, ce qui la destine à la fois à entrer dans les livres d'histoire et à devenir incontournable pour tout collectionneur de montres de prestige.

Allez hop, un nouveau modèle "fusion" qui reprend le pedigree obligatoire en l'espèce : caoutchouc, or rose et visserie apparente sur la lunette. Plutôt bien fait de prime abord - sauf que pour chronométrer le quart de seconde, il manque des graduations entre les index des secondes. J'aime beaucoup l'intégration du bracelet bien plus réussie que sur les Hublot (Désolé M. Biver). Pour le reste, pas une révolution horlogère...

Nicolas

Les aiguilles ressemblent furieusement à celles de la Favre-Leuba ?
Sinon, j'aime bien ce concept de boîte "sandwich" pour l'iintégration du bracelet.

Mieux vaut être belle et rebelle que moche et re-moche

Celle la je la trouve reremoche.

cisco a écrit:

Mieux vaut être belle et rebelle que moche et re-moche

Celle la je la trouve reremoche.

Chouette ! un de tes futurs avatars alors ?

Tout n'est pas à jeter.

Faut voir en vrai, l'objet doit avoir une certaine présence quand même.

Il y a des idées marrantes.
On n'est pas forcé non plus de se faire braire tous les jours avec des montres qui chient du marbre si on a les moyens de se poiler un peu avec un truc hors norme.

Comme un jouet Bioman, ça doit se tripoter par jeu...

Å

Le problème, c'est les $$$

"On doit l'excellence de cette montre à un calibre de chronographe éprouvé avec remontage automatique, disposant d'une réserve de marche de 42 heures ..."

j'aime bien ces tournures de phrase pour décrire le mouvement ETA 2894 ...
heursement qu'il reste l'incaflex et la masse spécifique ...

Quitte à faire un rotor en forme de jante, j'aurai essayé de faire une jante complète, avec soit une masse additionelle planquée dessous, soit une combinaison bimétallique (de préférence rendue invisible par un traitement)...

Å

:lol!: Mnementh.

Oui mais la Tokima Digirobo, elle est quand même un cran au dessus.

Juste pour le plaisir de remmetre cette photo extraordinaire. (pour ceux qui l'auraient ratée)



Dommage qu'elle ne m'appartienne pas, elle aurait pu agrémenter la catégorie toolwatch...

Sur la Wyler je trouve des éléments de design pompés à droite à gauche (Richard Mille notamment) et assemblés sans grande grâce.
MHA