- francoisb a écrit:
- sans oublier celles dont on ne parle pas
Ce sont les plus nombreuses.
Comme pour les casses bancaires, la presse n'est avertie que rarement et ne reprend l'info que s'il y a une suite médiatique (ou si un voisin a prévenu, mais là, en général, ça ne sort que sur des tout petits médias).
Les vols de bijoutiers et les agressions de personnes pour vol de bijoux (argent, portable...) sont en recrudescence.
Ce ne serait pas
si inquiétant :
1/ Si les policiers les recherchaient et les attrapaient
2/ S'ils étaient attrapés qu'ils ne fussent pas relâchés mais jugés
3/ S'ils étaient jugés qu'ils soient condamnés
4/ S'ils étaient condamnés qu'ils le fussent à une peine correspondant au préjudice
5/ S'ils étaient condamnés à ladite peine que cette peine soit appliquée (pas de place dans les prisons et condamnés ou prévenus non solvables : les amendes - quand il y en a - sont payées par les assurances et le fond d'indemnisation des victimes).
On voit bien que cet enchaînement de conditions ne peut plus se produire en l'état actuel.
Que faire ?
En parler ?
Ne pas en parler ?
Militer ?
Comprendre sinon accepter que les victimes se fassent justice eux-mêmes ?
C'est un sujet réellement préoccupant pour la sécurité, certes, mais aussi pour la démocratie me semble-t-il : quand l'auto-défense devient le seul recours...