Les langues baveuses sont tellement dégoulinantes qu’à force, fini une goute dans ma bouche; je trouve ceci sirotant à souhait.
Accueilli par les papes de l’horlogerie « swiss made », ils m’ont déversé leurs miels durant plusieurs jours.
J’en veux encore.
J’ai rencontré des atypiques, des fous, qui réalisent aussi quelques « swiss made ». Par contre, sur elles, la croix blanche est bien plus lisible que sur celles où l’on se sent obligé de vous la vendre.
Leurs produits sentent vraiment la sueur, la mécanique, l’hydraulique : Ils les roulent vraiment sous les aisselles ! Pourtant cette odeur n’est pas nauséabonde.
J’en veux encore.
J’emporte mes échantillons sucrés et ceux fourni par les glandes apocrines et à ma manière, je vous vends mes aromes en quelques scènes.
Mon ami, un peu comme une abeille, a travaillé comme une fourmi et je le remercie.
J’en veux encore.
Le soleil me manque. Il fait froid et gris. La cagolle n’étant pas une personne du froid, je descends dans son fief.
C’est dans les profondeurs que j’y rencontre les plus chaleureux.
J’en veux encore.
L’année se clos par « des vaches, des montagnes et De Bethune ».
Non pas que j’en ai cumulé…de la tune, hélas, mais j’ai pu voir comment on peut les dépenser autrement qu’en voulant se donner bonne conscience.
C’est fût une visite réservé pour les chevaliers et dicibles de notre royaume horloger.
Si la beauté était au rendez-vous, j’ai été admiratif du code vestimentaire à la hauteur des produits contemplés.
J’en veux encore ! Oui, j’en veux encore de ce forum.
Mais le forum, c’est aussi, les cons naisseurs, qui apparaissent sur le blanc immaculé de leurs pages tout aussi vides que leurs propos.
C’est les chiants-autologues, avec leur vision uniques venue d’ailleurs. Qui vous prêchent leurs messes horlogères.
Les cons vaincus, qui ne vont jamais capituler.
Les bi polaires, qui sont à l’ouest sur le forum et pourtant vous indique le nord dans la vraie vie.
Tiens, d’ailleurs ?
NON…je ne veux même pas savoir dans quel groupe je me trouve.
Bref...
Il y a la garde de nuit, comme celle de jour, qui veille sur les comptées en espérant que l’obscurité ne va pas avoir raison d’eux.
Sur le pont qui enjambe le gouffre, ils y accrochent leurs cadenas des vœux.
Mais la bonne fois grasse, celle qui ne fait pas glousser les dindes,que l'on aime savourer tout au long de l'année, celle qui souvent, est trop cérébrale, alors on fini par ce dire: Bah, c’est trop long à lire, vite !
Un con sautillant pour dire que j’aime.
Ces puits sont réalisés par les ombres ! Celles que l’on souhaite voir plus souvent.
Pourtant, elles ne font que passer, en toute vitesse, tel un yeti.
Quand on a l’occasion et surtout le temps de les deviner, de les croiser, la température baissent tout de suite.
On y est bien et on n’a pas envie qu'ils s’arrêtent . Car lorsqu’ils soufflent leurs mots, on boit leurs paroles. C’est tellement désaltérant !
J’en veux toujours.
Et la main ? Ne pas oublier la main !
Celle qui travaille pour avoir tout ceci. Cette main qui, parfois change de peau et nous fait réfléchir ou sourire mais surtout nous apprend énormément, car cette main a des ressources inépuisables ! Merci la main.
Finalement, il y a la catégorie dans laquelle je m’identifie : La grosse masse, qui pourtant ne pèse pas beaucoup, mais qui fait le volume et la réussite du lieu.
Alors si vous vous êtes retrouvé au moins une fois dans mes étrangetés, ce que vous avez contribué à mon bonheur et ma passion pour le Fam.
Comme je m’en vais dans un lieu où le web n’a pas encore pignon sur rue , je vous transmets, un peu en avance, les mots les plus écumants pour vos familles et vous-même.
A l'année prochaine.
Driss