Une idée simple, entre génie et passion...

Le fond de boîte transparent.
Copié depuis, c'est aujourd'hui un incontournable. Chez nombres d'entre nous, c'est cette chose qui a été l'origine de tout ce qui ce passe ici.

"C'est en 1983 que le maître horloger de Braunschweig, Gerd-Rüdiger Lang, crée son entreprise Chronoswiss à Munich : alors qu'il répare des chronographes et des montres mécaniques spéciales, mûrit en lui l'idée d'une propre collection constituée exclusivement de composants suisses, d'où le nom " Chronoswiss " et le label de qualité " Swiss made ".
De plus, Lang est le premier à fabriquer des fonds en verre pour ses montres à bracelet, afin de laisser apparaître le fascinant mécanisme du mouvement et d'éveiller un intérêt pour les montres mécaniques. Il y a de cela exactement vingt ans, en 1988, le premier modèle et produit emblématique de la collection Chronoswiss, le " Régulateur ", voit la lumière du jour - avec affichage décentralisé des heures et cadran exceptionnel, inspiré de la référence historique que constituent les régulateurs.

En 1991, Chronoswiss lance le calibre manufacturé C. 122. En coopération avec le fabriquant d'horloges Sattler, Chronoswiss conçoit le " modèle munichois " de la formation d'horloger : alternant entre fabrication d'horloges et fabrication de montres à bracelet, les apprentis des deux entreprises reçoivent une formation plus élargie. En 2007, Chronoswiss se voit décerner la plus haute distinction du monde de l'horlogerie allemande, la médaille Peter Henlein. De plus, la première fabrique de montres à bracelet bavaroise est inaugurée aux portes de Munich, à Karlsfeld, à travers les nouveaux locaux de l'entreprise, baptisés " Zeitpunkt " ; juste à temps pour célébrer les 25 ans de la marque dans ses propres murs, en 2008. Ainsi s'écrivent plus de 600 ans d'histoire de l'art de l'horlogerie en Bavière et à Munich.
Des pièces d'expositions du musée et de la collection Chronoswiss - dont le Régulateur à remontoir manuel - ainsi que le très exhaustif portfolio de Sattler ( entre autres des montres de style en or poli datant de 1962) illustrent cette importante histoire. Il ne faut bien sûr pas oublier de se tourner vers l'avenir, car autant Sattler que Chronoswiss s'engagent profondément dans la formation et investissent dans le fief bavarois de l'horlogerie : actuellement chacune des deux entreprises forme quatre apprentis."


J'en ai profité pour glisser un sondage, afin de déterminer si ce fameux fond de boîte transparent est si décisif que cela finalement ...

Était-ce LA chose qui vous a fait aimer l'horlogerie en tout premier lieu ?


Texte original : http://archive.horlogerie-suisse.com/marques/chronoswiss.html

J'ai voté "non" car pour moi ce n'est pas décisif dans ma décision.

Par contre, j'avoue que c'est un gros plus. Par exemple, je lorgnais il y a peu sur une IWC Portofino et le fait de ne pas pouvoir voir le mouvement me gêne.

Contempler le mouvement d'une montre n'a pas été été à l'origine de ma passion pour l'horlogerie, mais ça joue beaucoup sur l'envie que l'on à d'une montre.

Pour Chronoswiss, je plussoie





Une petite revue

Mes premières "belles' montres (Rolex, JLC Reverso) ou mes montres vintage n'avaient pas de fond transparent, donc ce n'est pas LA chose qui m'a fait aimer l'horlogerie en tout premier lieu.

Le fond saphir est un plus quand il s'agit de découvrir de beaux mouvements, mais actuellement de nombreuses marques en usent et en abusent.  

+ 1
Bientôt on mettra la montre sens dessus dessous pour pouvoir en permanence voir le balancier faire ses oscillations !
C'est une mode et pourtant bien des calibres ne méritent pas ce fond visible.
Olivier

ça n'as pas influencé ma passion en bien ou en mal. Sur certaines c'est sympa d'en avoir pour voir les beaux mouvement, sur certaines je regrettent qu'il n'y en ai pas (comme pour ma futur hanhart), mais sur d'autres devrais s'en abstenir.... Avec un mouvement pas travaillé je préfère un joli fond plein (comme ma LLD par exemple)

Voté non, car c'est sympa au debut mais vu la majorité de 28xx embarqués. ...pas grand chose a voir

Certes, certains mouvements s le meritent mais bon

Perso je prefere un mouvement fiable et precis cache derriere un fond plein qu'un fond transparent sur un mouvement basique...

Pour moi ca y a beaucoup contribué, raison pour laquelle mes premieres montres automatiques (ou manuelles) ont été équipées de fond de verre transparent (Hamilton Auto Chrono, Omega Speedmaster 3873.50.31, Seiko SARB...)
En revanche aujourd'hui ce n'est plus un critere de choix discriminant pour une nouvelle montre de ne pas en etre equipé. Comme l'a remarqué OpOw, j'ai aussi une LLD dont je suis tres content d'observer le plongeur gravé sur le fond plein.

À l'origine oui.
Avec un peu plus de culture horlogère ce n'est plus un indispensable : comme dit plus haut la plupart des mouvements ne méritent pas l'effort de retourner la montre pour les voir   

Je trouve ça très sympa de pouvoir voir le mouvement, qu'il soit basique ou très travaillé sans avoir besoin d'ouvrir la montre.
Et contrairement aux montres squelettes, où l'ouverture influence grandement la lisibilité et l'esthétique, les fonds transparents n'ont pas d'influence négative sur la montre au quotidien.
Actuellement, entre deux modèles qui me conviennent, je choisirai en priorité celui qui a un fond transparent.

Ce n'est pas ce qui m'a amené à me passionner pour les montres mais j'avoue qu'entre 2 modèles identiques dont l'un a un fonds plein, j'irais plutôt vers la montre qui a un fonds saphir, même si son mouvement ne mérite pas forcément d'être visible.

Il m'est agréable de pouvoir regarder ce fonctionnement mécanique miniature, quelle que soit son niveau esthétique, raison pour laquelle j'aime toujours autant ma Swatch Body & Soul par exemple, même si elle ne coûte que le centième de ma Reverso Grande Sun Moon dont le mouvement est vraiment un ravissement et un enchantement.

J'ai voté oui.
Lors du premier choix de montre, (comme expliqué  ici) j'ai failli acheter un squelette chinois en super promo CDisc***t avant de me dire que ça sentait grave le roussi cette affaire.

Du coup, je me suis tourné vers une Zeppelin à fond transparent, laissant apparaître un ETA, mais décoré. Et du coup, l'envie d'avoir un nouveau fond transparent s'éloigne car, pour la même qualité de décoration chez une marque connue, ce n'est plus le même budget (quoique je me laisserai peut être tenté par un Unitas)/

Voir le mouvement d'une montre, c'est un peu voir la vie de la montre, comme un coeur qui bat, ça a été important dans le choix de mon premier modèle.

A l'origine, c'était un critère important dans mes choix, puis comme pour beaucoup, c'est devenu secondaire...

moumoune31 a écrit:

A l'origine, c'était un critère important dans mes choix, puis comme pour beaucoup, c'est devenu secondaire...

+1
Je dirais même que maintenant cela me déplaît la plupart du temps lorsque le mouvement n'en vaut pas la peine...
Si c'est pour voir énième ETA 2824 ou même Valjoux 7750 je préfère payer moins cher et avoir une montre plus fine.

Disons que ma première a été une Stowa, que c'est vraiment ce que je voulais, et qu'elles ont toutes un fond transparent. C'était donc un plus mais si il n'avait pas été là, je serais quand même allé chez eux.

Et de toute façon, c'est rigolo les premiers jours et après tu t'en tapes complet ...   

J'ai voté "oui", mais ce qui m'a toujours fasciné depuis mon plus jeune âge, ce ne sont pas les calibres de montres, mais bien les mouvement d'horlogerie, les anciens, de la pendule d'officier aux horloges d'église à automates, en passant par les pendules de salon et les réveils de poche que je démontais tout gamin.

Ai voté non.

Cela n'a pas été à l'origine de ma passion, mais j'apprécie particulièrement le fond transparent de ma Pequignet Rue Royale.

En regardant le mouvement en action, j'ai l'impression de voir un cœur qui bat et c'est un bonheur.

Effectivement ce n'est pas l'origine.
Mais aujourd'hui il est vrai que je regarde la majorité de mes montres avec fonds transparents.
C'est magnifique à regarder surtout quand c'est bien travaillé.