![Impec](/users/2815/25/03/71/smiles/yaisse_g.gif)
ah, mon cher léon, tu nous étonneras toujours...........ET c'est tant mieux !
Pour autant, tu nous l'as faite un peu courte sur IWC ( ...au fond du coulor , à gauche ! ) ;
aussi, dois-je m'y coller , et rappeler à notre ami, qui s'interloquant de savoir, qui de Chaumet, QUI d'IWC ( ...toujours au mème endroit ), le choix d'icelle devrait -il s'enquérir, pour apporter sur IWC ,un peu de lumière, fiat lux,soit :
Le nom d'International watch and Co est caractérisé par des turbulences d'une grande violence, et certains atterrissages plutôt brutaux;
je vous laisse en juges.
Ainsi, la carrière du jeune Florentine A. Jones, a -t-elle débuté le 15
février 1841 dans le petit village américain de Rumney, situé sur le flanc sud-ouest des White Mountains .
Ses ancêtres appartiennent à ce groupe des courageux Pères pèlerins , qui ont émigré dans le nouveau monde à bord du célèbre Mayflower en 1620;
Son arbre généalogique révèle d'ailleurs des liens avec la chronomètrie , hé oui ! ainsi, à Concord, 2 -rien que ça -de ses grands oncles étaient des réparateurs d'horloges .
A l'âge de 14 ans, Jones déménage pour BOSTON, pour y travailler auprès de différents fabricants de montres -éh, oui, c'estcomme ça qu'on apprenait , en ce temps là -,SAUF, sauf de 1861 à 1864 , années de son service militaire .
Ce n'est qu'en l'an de grâce 1868 , que F.A.Jones fait son arrivée à Schaffhouse .
Par quel hasard , le destin a-t-il guidé ses pas jusque là? nul ne le sait; mais c'est justement ça le destin, n'est-il pas ?
Son objectif , alors , est de fabriquer des goussets à bas prix , pour le marché américain -déjà la mondialisation! -
Juste sur la route du RHIN ( pas Rhum, Rhin ! ), il croise un horloger suisse :Johann Heinrich Moser - l'histoire ne dit pas si l'un des deux s'était arrèté tout bonnement pour demander l'heure, poliment, s'il vous plait et en otant son chapeau , l'un tyrolien, l'autre un Stetson , ce que salope..euh ?OUPS ... suppute pépégui, .....le destin, tojours le destin, CAR ,
il se trouve que le Moser en question, avait rendu utilisable industriellement le potentiel énergétique des chutes du Rhin., et avait fait construire un complexe industriel parfaitement équipé , pour lequel il recherchait l'installation d'entrepreneurs.
Avec ses plans ambitieux, à lui, Moser, il comprend que l'américain intrépide,dynamique, et non moins ambitieux, le Jones dont il est question, est l'homme qu'il lui faut.
Un contrat de bail est signé, pour les 1ères salles de fabrication,avec raccordement à l'énergie hydraulique, en 1869;
ET 2 ans plus tard , IWC peut annoncer fièrement la fabrications des premiers mouvements de montres à gousset .
"Cest une bin belle histoire que tu nous narres là pépégui "
"Eh, oui , les amis c'est depuis qu'il fréquente son pote Léon "
, et, bien sur, vous connaissez la suite..........
Ce que l'histoire ne raconte pas -on ne nous dit pas tout -, c'est que , Moser et Jones s'éprirent , se marièrent , et eurent beaucoup d'enfants .
L'un de ses descendants, à ce que je me suis laisé dire s'appellerait L.VM...? Ah, je m'souviens plus exactement , mais ça me reviendra
Un contrat de bail pour les 1ères salles d fabrication