A un mois du SIHH, il semble que l'on s'apprête à entendre de nouvelles annonces de plans sociaux dans l'horlogerie. "On va laisser passer janvier mais on ne pourra aller plus loin" entend-on officieusement. La question devra être réglée avant Baselworld entend-on aussi ... Certains CEO ne sont pas encore refroidis que ça postule à outrance dans les propres troupes des CEO appelés à développer des projets personnels.
Comment annoncer 300 licenciements et faire bonne figure au SIHH, comment un CEO qui sait qu'il est viré va-t-il gérer Genève en janvier ? Comment des équipes qui ploient sous les rumeurs parfois les plus tordues vont-elle s'investir dans un évènement pour une marque dont elles savent qu'elles seront exclues ?
Il est difficile de motiver des troupes et l'on voit ici et là, les bévues s'accumuler, m'indiquait un détaillant.
On attend de la part des groupes et firmes avec impatience des prises de positions plus transparentes pour les personnels auxquels on demande de s'impliquer, mais qui est capable de donner des garanties ?
_________________
Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).