Alors voilà, j’étais passé du quartz à l’auto il y a une vingtaine d’années pour éviter les piles. Mais il semblerait que mon mode de vie allié à mon « nouveau » job ne soit pas compatibles avec ces mécaniques de précision.
J’ai donc cherché longuement une toolwatch de diamètre contenu, style field watch, avec saphir, bon lum et une étanchéité correcte. Et je suis tombé (sans me faire mal) sur la « Ray Mears », du nom de cet ancien membre des forces spéciales de sa majesté, expert en survie et qui a réalisé nombre d’émissions TV. Il portait la première du nom.
Boîtier:
Diamètre 39,5/40mm, dépend des sources, monobloc en titane traité Duratec (5x plus résistant à la rayure que l’inoxydable.
Lug-to-lug de 46mm, idéal pour les petits poignets.
Fond tout plat.
Le boîtier est joliment satiné avec des parties polies entre les cornes, sous la lunette, entre les flancs et le fond.
Verre:
Saphir de 3mm d’épaisseur, traité anti-reflet sur la face interne.
Diamètre 32 mm
Cadran:
Noir mat indiquant 1-2-4-5-7-8-10-11 triangle à 12h et date au fond d’un puit à 3h
Le tout garni abondamment d’un SuperLuminova un peu bleu (C3?) qui crache bien toute la nuit.
Diamètre 26mm sans le rehaut
Épaisseur: 11,75 mm
Étanchéité 300m
Resistance anti-magnétique: 4800Gauss
Mouvement Eco-Drive E168 avec un système anti-choc, réserve de marche de 6 mois et indicateur de charge faible (l’aiguille des sec avance par pas de 2)
Le bracelet est en kevlar, doublé d’un espèce de nubuc très doux.
Au final ça donne une montre super confortable sur le poignet, le cadran bien rempli ne donne pas l’impression de porter une horloge murale et super lisible.
Avec ça je devrais être tranquille pour au moins 10ans.
Et tout ça pour 275 livres. Eh oui, elle n’est dispo qu’en GB.
Je n’ai pas d’APN sous la main pour les tofs mais voici quelques liens de gars très doués pour rendre hommage à cette belle montre.
En allemand mais les plus belles photos
En anglais
L’histoire du modèle