Toi,
Toujours je te comprends
Quand tu parles du temps,
Des secondes qui passent,
De ton goût de l'espace.
Sur toi les heures se meurent,
Sans heurt.
Sur ton corps les années glissent,
Si lisses.
De cuir je te veux vêtir,
Pour rire.
D'amour je vais te couvrir,
Soupir.
Je suis si fier de toi,
Qu'en un geste de roi,
Aux autres je te montre,
Seule à mon bras …….
….. Ma Montre