Les détaillants se mettent à trahir un peu les marques

Une visite chez un détaillant m'a légérement troublé cet après midi. Dans sa vitrine : Bell & Ross et juste à coté une marque 2 fois moins chère avec la même cible et vers laquelle il pousse le client quand il voiot que la B&R ne se vendra pas ...

C'est un peu comme si un détaillant Rolex proposait des Marcello à celui qui venu voir la submariner lui expliquait qu'il voudrait un produit de substitution.

Drôle de technique car ce même détaillant critique beaucoup internet et ses faux.

Il faudrait aussi savoir pourquoi Bell & Ross accepte chez ce détaillant une marque moins chère, qui copie ses propres modèles...

Simplement en suivant le schéma ....

Léon, ta photo est enregistrée sous le nom Humour 10. C'est de l'humour en boite, du préfabriqué ?

En tout cas, je n'y ai rien compris

leon a écrit:

Simplement en suivant le schéma ....

Tu l'as vexé.

la distribution B&R est dans les débit de tabac ou au mieux chez les marchands de stylo

On m'a proposé la marque, mais le SAV ets en France, et j'ai laissé tomber, du fait des problèmes douaniers avec l'UE, et de toute façon, je n'avais guère d'intérêt pour cette marque.

Moi, c'est toujours Universal qui me titille

Il a de meilleures marges nettes avec la copie, héhé, le pt'it malin.

Olivier

C'est un peu la même chose pour la grande distribution ; les grandes surface ont besoin d'avoir des produits images (ex Pepito, Nesquick, Amora...) afin d'attirer les clients dans les rayons et de vendre leur produits sans marque moins cher. Les marques acceptent car ils ont peur de ne plus être réferencé.

tocante75 a écrit:

C'est un peu la même chose pour la grande distribution ; les grandes surface ont besoin d'avoir des produits images (ex Pepito, Nesquick, Amora...) afin d'attirer les clients dans les rayons et de vendre leur produits sans marque moins cher. Les marques acceptent car ils ont peur de ne plus être réferencé.

A ceci près que très souvent ce sont les mêmes marques qui fabriquent les produits moins chers, moyennant la plupart du temps un changement de recette et/ou d'ingrédients...
A part Tudor et Rolex d'antan, il n'y a pas l'équivalent en horlogerie