A Pékin, plus précisément.
Un petit week end pour partir à la recherche du rapport qu'entretiennent les Pékinois avec les montres.
Comme on le voit, la publicité est voyante et actuelle...
Une boutique avec atelier attenant.
L'espace est à la mode...
Aux puces...
Rien que de la daube...
Mais le plus beau est dans la cité interdite : le musée impérial de l'horlogerie.
Il faut savoir que les horloges ont joué un rôle considérable dans les échanges entre les jésuites et la cour impériale. C'est par leur truchement que Matteo Ricci et ses frères ont pu entrer au coeur de la cité impériale. Les empereurs avaient une passion pour l'horlogerie. Il reste une partie de cette collection.
L'emplacement du musée dans la Cité interdite
Une montre double face en émail, avec le portrait d'un dignitaire en habit mandchou et de sa dame :
Une clepsydre monumentale
Une horloge dans laquelle l'automate écrit à chaque heure "puissent les souverains de la terre entière honorer l'empereur"
Une autre montre émaillée
Une montre émaillée anglaise
Pour l'avenir, un prochain colloque promet ...