Les bureaux d'études des manufcatures travaillent de plus en plus en ayant recours à des sous-traitants afin d'accélérer le développement de nouveaux calibres ou techniques.
On le savait depuis plus de 50 ans les écoles ( grandes écoles) Suisse aident au développement d'applications micro-mécaniques chéres à l'horlogerie et contribue à la demande des marques à des développement qui en suite sont repris au compte des marques qui ont fait réaliser celle-ci.
Bien entendu ce travail peut être conjoint avec des société privées qui fleurisse grâce parfois à des personnels de grandes maisons qui décident d'acquérir leur autonomie et travaillent ainsi avec plus ou moins de succès d'ailleurs pour plusieurs marques.
"Plus ou moins de succès", c'est le cas de le dire car parfois l'invention relève du four . Ce fut le cas pour la V4 De Tag insuffisamment élaborée avant d'être annoncée . Moralité, le produit n'est pas sorti et l'effet d'annonce est un peu gâché.
Par contre, ces écoles ont permis de mettre au point des lubrifiants, des alliages, des composants d'échappements sans lubrification, des complications...
Toutes les maisons ne jouent pas la transparence totale et parfois même intégrent une clause de confidentialité dans les recherches engagées ou les développements présentés.
Le savoir faire interne qui se suffirait à lui-même est devenu un leurre en tout état de cause...
Tout ça pour dire que même les plus grands des plus grands ont recours à de la matière grise extérieure mais après tout manufacture ne signifie pas que toute l'activité intellectuelle soit interne.
_________________
Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).