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 Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire.

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Raxevis Arcofin
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Raxevis Arcofin


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MessageSujet: Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire.   Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire. EmptyLun 25 Mar - 9:02

Vous vous souvenez certainement d'avoir lu sur ce Forum l'histoire des montres Breguet du général Andoche Junot Duc d'Abrantès, premier aide de camp de Bonaparte, Gouverneur du Portugal, Gouverneur et commandant militaire de Paris, Gouverneur des provinces Illyriennes.

          Si toutefois votre mémoire fait défaut rendez-vous ICI.
 
          Je vous fais un bref topo de l'histoire puis je viens au rebondissement:

           Le général Junot, grand ami de Napoléon et l'un de ses plus fidèles compagnon a acheté 5 montres Breguet et 1 compteur à Abraham-Louis Breguet entre le 5 avril 1802 et le 24 août 1807.

- Une de ses montres, rendue à Breguet a été modifiée et revendue à la Reine d'Espagne qui l'a donnée à son amant, qui l'a donnée et de mains en mains elle est peut être aujourd'hui dans un coffre en Italie parmi le trésor de la famille du Roi d'Italie dont l'Etat Italien garde la porte bien fermée.
- Une de ses montres rendue elle aussi à Breguet a été rachetée par la maitresse de Junot: rien moins que Caroline Murat, Reine de Naples et Soeur de Bonaparte.
- La dernière de ses montres revendue à Breguet par sa veuve est passée de mains en mains avant d'atterrir dans les mains d'un général Anglais que Junot avait combattu au Portugal, qui l'a donné ensuite à Henri Wellesley plus tard duc de Wellington qui a lui battu Junot au nord de Lisbonne, puis encore en Espagne un peu plus tard. Cette Montre est aujourd'hui dans un Musée à Lisbonne.
- Des deux autres montres connues et le compteur une montre semble avoir disparu corps et bien, la dernière montre et le compteur sont passées entre les mains de collectionneurs privés.

     Sur ces 5 montres et ce compteur M. Emmanuel Breguet m'a fourni de précieux renseignements sachant qu'il m'a lui même informé de l'existence d'une de ces montres dans un des ses courriels.
  
      Mais voilà où commence l'histoire dans l'histoire: Dans plusieurs de ses propres livres M. E. Breguet indique que le duc d'Abrantès a acheté 7 montres.

Alors? Quelle est donc la 7ème?
Pourquoi alors même qu'il avait si aimablement répondu à ma demande m'a t'il fourni autant d'informations provenant des archives d'atelier et de vente sur des montres dont j'ignorais à ce moment l'existence mais sans donner la moindre information sur la 7ème montre?

             Ce dont je suis sûr c'est que la dernière fois qu'Andoche Junot à franchi le pas du 51 Quai de l'Horloge avec un nouvel achat en poche c'était le 24 août 1807.
   Il venait d'acheter la montre N°1226 (lire Une Breguet Dans l'Histoire).
             Entre L'automne 1807 et 1813 il va aller de terrains de guerres en lits de convalescence entre l'Espagne et l'actuelle Russie en repassant par Paris. (On lui compte plus d'une vingtaine de blessure dont des coups de feu au visage et des coups de sabre à la tête et au ventre). Il est donc possible qu'il ait rendu visite au quai de l'horloge lors de ses séjours chez lui.

     Depuis que j'ai écris l'histoire des montres Breguet de mon illustre aïeul c'était formé une idée assez précise concernant la 7éme montre manquante. Une lecture d'un article écrit par M. B. Roobaert mentionne de façon sybilline que Junot ce serait montré interressé par la montre N°160. Ce qui était une première confirmation à mes propres lectures et recherches et qui déjà m'avaient ammené à cette idée là.
      A cet instant de mes recherches, de l'écriture de l'histoire, de mes connaissances concernant la production des montres Breguet de cette époque et des aléas de la fabrication de la N°160 entre la commande et sa présence entre les mains de Sir D. Salomons, à cet instant donc il y avait déjà une concordance de temps et d'autres éléments qui semblaient pouvoir s'accorder et donner un début de crédit à l'idée que la fameuse 7ème montre serait la N°160.

       Le temps passe et mes recherche continuent. J'augmente de nombreux détail l'histoire et corrige un chapitre. Mais peu d'avancées  horlogères concernant les montres du général jusqu'à ce que @caput au détour d'une des ses propres recherches tombe sur un article qu'il me fait passer.
       Je vous ai extrait le passage interressant.


****



Extrait de:
La Revue de L’Horlogerie-Bijouterie N° 293 du 10 avril 1927
« Source gallica.bnf.fr / BnF » 


L’article de Léopold Reverchon est consacré à l’Horloger Michel Weber.


…Michel Weber se présenta, en 1806, dans la célèbre maison du quai de l’Horloge, à Paris. Breguet lui confiait bientôt les travaux les plus délicats et le considérait comme le plus habile ouvrier d’alors et le meilleur de ses élèves de beaucoup. « Il lui lit reprendre, en 1809, pour la terminer, la montre simplement appelée par Breguet :
-la montre n° 160, qui devait, sous le nom de « Montre de Marie-Antoinette illustrer pour toujours la mémoire du célèbre horloger. 
Il a fallut à Michel Weber cinq années, de 1809 à 1811, pour terminer ce chef-d’œuvre. « Dès 1810, Michel Weber gérait, à Paris, avec l’aide de son frère Frédéric, le magasin d’horlogerie d’un sieur Grand-jean, de Genève, sis 14, rue de Grenelle-Saint-Honoré, baptisée, deux ans plus lard, rue du Roule. Il épousait, en 1811, Catherine-Jacqueline Gaudin, de Genève. Leur fille Julie venait au monde l’année suivante et grandissait dans la compagnie des petites filles d’Abraham Breguet qui accueillait la famille de Michel dans l’intimité de la sienne. Michel avait repris, en 1812, la suite de Grandjean, et occupait, dans cette même maison, deux appartements où il exerça pendant 39 ans son industrie. 
Il reste de sa fille Julie, sous les noms successifs de Julie Weber, et de Julie Arnaud, une œuvre estimée d’aquarelliste, dont les musées de Genève et de Besançon et la collection Rothschild gardent les meilleurs vélins. Elle épousa, en 1815, un jeune officier d’artillerie, Jean-Elysée Arnaud, citoyen de Genève, fils d’un horloger originaire de Savoie, et depuis longtemps correspondant de Michel Weber. 
Elle ne quitta pas son père qui avait associé son gendre à son industrie, exercée bientôt 285, rue Saint-Honoré. Michel Weber laissa ensuite ce dernier, qui se faisait appeler John Arnaud-Weber, s’installer 75, rue de Rivoli, et se lancer dans la voie, inconnue à cette époque, de la vente à crédit. 
Arnaud se ruina et ruina son beau-père quand il se hasarda, en 1852, de 
livrer à crédit à New-York. 
Toutes ses importantes livraisons de montres aux Etats-Unis restèrent impayées. Michel Weber aida son gendre à s’installer dans deux appartements moins importants, 175, rue du Faubourg-Saint-Honoré. Mais John Arnaud, découragé, tombait malade et mourait Bientôt à l'Age de 40 ans, en 1859. 
« Michel Weber s’était retiré 17, chaussée du Maine, où il s’éteignit en 1861, A l’Age de 80 ans. Il y connut encore et éleva seul petit-fils qui lui survécut, Albert-Léon Arnaud, élève du grand chimiste Chevreul, et élu à 37 ans titulaire de la chaire de chimie organique au Muséum d'Histoire naturelle de Paris, mort en 1915. Savant auquel la chimie organique doit de nombreuses découvertes. » 
Le professeur Arnaud laissait cinq enfants. Sa dernière fille, Mlle Jacqueline Arnaud, devait, quelques années plus tard, après la guerre, épouser M. Georges Brown, l’actuel chef de la maison Breguet. Par cette arrière-petite enfant, Michel Weber entrait définitivement dans la célèbre maison dont il avait été la première étoile C’est intentionnellement que j’emploie ce mot d’étoile, généralement réservé à des illustrations moins austères que celles de la chronométrie. 
La montre de Marie-Antoinette étant aujourd’hui qualifiée, le chef-d’œuvre de Breguet, on ne saurait refuser à celui qui fit ce chef-d’œuvre le premier rang dans ce personnel de choix dont, sut toujours s’entourer le maître. 
J’ai dit tout à l’heure, à la suite de M. Y. Arnaud, que Michel Weber avait travaillé cinq ans sur le chef-d'œuvre. Voici, d’après les livres de la maison Breguet, le relevé des sommes qui lui furent payées de ce fait : 

De décembre 1809 à décembre 1811: 1700 frs
En 1812: 2.845 frs
En 1813: 2.285 frs
En 1814: 2.120 frs
En 1815: 500 frs

Total: 9 450 frs

Si vous voulez bien remarquer que la somme totale inscrite aux livres de la maison Breguet comme ayant été payée pour la montre de Marie-Antoinette s’élève à 17.080 francs, dont 4.984 seulement avant 1809, vous reconnaîtrez que Michel Weber fut bien l’artiste principal de ce magnifique travail. 
Notez en passant que les journées de cet artiste étaient payées à raison de 10fr. 
Ce chiffre est inférieur de moitié à celui que Sir David Salomons indique comme étant alloué à ses maîtres ouvriers par Breguet. Il est probable que le chiffre de 20 fr. donné par l’éminent collectionneur est le résultat d’une erreur de calcul ou de change. 
■En estimant seulement la valeur du franc au commencement du dix-neuvième siècle au double de ce qu’elle était au commencement du vingtième, on aurait déjà eu quelque chose comme 35.000 francs de 1913 pour prix de revient de la montre de Marie-Antoinette sans frais généraux. Cela représenterait 175.000 francs de nos jours. Un joli denier, comme on voit. 
         Nous avons vu tout à l’heure que la montre dite de Marie-Antoinette ne portait pas du tout ce qualificatif à l'origine. C’était simplement la montre 160. Il est certain — les livres de la maison Breguet en font foi — qu’elle fut commandée à Breguet, en 1783, par M. de la Croie, officier aux Gardes de la Reine. Le client demanda à l’artiste de mettre dans celle pièce toutes les complications connues et de l’or partout où il serait possible. La commande était-elle faite pour la reine ? J'en doute un peu. Je ne vois pas très bien un officier des Gardes, même admirateur de sa souveraine, lui offrant une montre qui était incontestablement une montre d’homme. Même accompagnée de toutes les complications possibles et n’utilisant l’acier que pour le ressort moteur. 
        Quoi qu’il en soit, il existe une pièce curieuse que j’ai publiée en mai 1926, et qui jette un jour imprévu sur l’histoire de cette montre. C’est un feuillet sans date ni signature, qui se trouve dans les papiers de famille de Mme Ludovic Halévy, petite-fille d’Abraham Breguet. 
       Voici comment débute ce papier, vraisemblablement écrit par la veuve de Louis Breguet, frère de Mme Halévy : 


« Le général Junot, devenu duc d’Abrantès, était très ami de mon grand-père et voulut lui commander pour lui une montre exceptionnelle où tout ce qui était en cuivre ordinairement dans toute montre fût en or dans celle-ci. De plus, il voulut qu’elle contînt tout ce qu’il y avait de plus remarquable dans l’horlogerie de manière à fixer l’état de l’art à celte époque. Mon  grand-père se mit donc à construire une montre suivant le désir du général. « C’est celle que vous avez entre les mains. » Il s’agit bien de la montre n° 160, qui fut vendue, en effet, par Mme veuve Louis Breguet. On voit qu’il n’est fait aucune allusion à la commande primitive de M. de la Croie, ni au nom de Marie-Antoinette. L’auteur de la note ajoute « qu’il y a six ans, cette montre devait valoir 40.000 francs ». Ce chiffre s’accorde assez avec celui de revient indiqué plus haut. 
      Le nom du général Junot, devenu duc d’Abrantès, explique parfaitement que le  mouvement abandonné pendant un quart de siècle par Breguet ait été repris en 1809 pour être terminé complètement. C’est en effet le 1 er décembre 1807 que Junot terminait la campagne de Portugal en enlevant Lisbonne. Et c'est à la suite de cette campagne qu'il fut créé duc d’Abrantès. Très amateur de belles choses, et d’un goût éclairé, il est vraisemblable que Junot ait tenu à posséder une montre hors ligne et en ait demandé une à son ami Breguet. Nous voyons très bien comment les choses ont dû se passer 
— Il me faut, mon ami, une montre incomparable. 
— Mon ami, j’ai ton affaire. 
Et Breguet s’en va chercher l’ébauche qui attend depuis la révolution l’occasion de sortir de son tiroir. Il appelle Weber : 
— Mon cher, voilà la montre 160. Il faut la mener à bien. Je compte sur toi. 
Et voilà Weber à l’œuvre. Il travaille en 1810 et 1811, en 1812, en 1813. La machine est déjà fort avancée lorsque Junot meurt. On continue. Elle est presque achevée en 1814. Maintenant, elle peut attendre une nouvelle occasion de vente. Elle attendra près de trois quarts de siècle et finira par être cédée à perte sur le prix de revient..  
Ainsi va le monde. 
Aujourd’hui, la montre dite de Marie-Antoinette constitue la perle de la collection de Sir David Salomons. C’est une incomparable pièce de mécanique chronométrique. Sa perfection fait de son principal artiste, Michel Weber, un des premiers maîtres de l’art horloger. 
Saluons-le comme tel. 

Léopold Reverchon. (1865 †1940)



*****



       Léopold Reverchon a été un auteur très engagé, directeur de plusieurs publications spécifiquement liées à l'Horlogerie, la chronometrie ou les horlogers eux-même. Auteur d'une Petite Histoire de l'horlogerie. Bibliothécaire de l'école d'hologerie de Paris. Secrétaire de l'exposition du centenaire en 1923... Et aussi rédacteur en chef de La croix du Jura. Il a aussi écrit dans les éditions du Bureau International des Poids et Mesures à Sèvres ou il habitait. Dans de très nombreux articles il a porté sur tous les fronts son combat pour la création d'un Musée de l'Horlogerie à Paris avec la très importante collection déjà existente présente à l'école d'horlogerie et celle du Musée des Arts et Metiers. Et il à tanné à longueur d'année la municipalité de PAris pour la création d'une Rue Leroy digne de ce très talentueux horloger pére de la chronométrie.

*****


        On voit bien ici -même si pour le moment le fameux article de mai 1926 me reste caché- que c'est un élément de plus qui corrobore l'idée que j'ai.
       A ce point de connaissance je crois que, connaissant l'exubérance du général (n'oublions pas que son surnom était "La Tempête"), Junot c'est bien engagé à acheter la N°160. Il serait même possible qu'il ait contracté auprès de "Son ami" (Sic) une souscription en versant une somme d'argent pour l'achat à venir.
     
     Pourquoi?


   - En 1807 Junot achète sa montre N°1226 (la plus chère des montres Breguet vendues jusqu'à la date d'achat sauf celles avec perles ou diamants et parmis les 206 montres que je connais avant cette date). 
Abraham-Louis Breguet en bon commerçant et considérant le personnage lui parle du projet resté en plan. Junot, excessif comme toujours quand il veux quelque chose, lui tape dans la main, lui fais envoyer la somme convenue et s'en va poursuivre son autre rêve: Le Bâton de Maréchal.


      Si Breguet a laissé en plan la construction de cette montre on peut y voir deux ou trois raisons d'importance selon moi, (et d'autres):


- La somme versée par le commanditaire est DÉJÀ passée dans la matière et le travail accompli. Oui. Mais voilà: Il a disparu sans laisser d'adresse! Plus de commanditaire, plus d'argent pour continuer. 
- L'ébauche à presque 20 ans et à l'atelier on est passé à autre chose. On a progressé.
- Le monde a changé et les désirs des clients aussi.


     Ce qui fait qu'en 1807-1808 Breguet à juste titre est en mesure de se gratter la tête en disant: si je continue à travailler là-dessus est-ce raisonnable de dépenser de l'or, des  rubis, du cristal de roche, des salaires, du temps d'atelier??? 
     J'ai bien plus d'argent à gagner à proposer des montres au goût du jour avec Une ou Deux complications voir Trois, que chacun pourra choisir et que mes clients pourront payer. S'il veulent d'autres complications ils reviennent me voir et  je fais comme je sais faire: je leur reprend et  leur en vend une  autre.
      Ou alors je continue dès que j'ai un moment (mais force est de dire que depuis 15 ans tout s'accelere et si je veux rester compétitif faut pas traîner)  je m'efforce de finir et produire un Chef-d'Oeuvre. Chef-d'Oeuvre que personne ne pourra s'offrir, qui sera très fragile et qui à coup sûr va me faire perdre de l'argent.
      Ou enfin, ce serait l'idéal, je trouve un client, là, maintenant, qui veux une montre d'exception et qui est prêt à m'apporter son concour financier pour reprendre le travail.
      
      L'on voit ici que l'article de M. Léopold Reverchon qui a très bien connu ce milieu à son époque (il y à 100 ans) donne un sens à cette dernière supposition.


      En revanche si c'est le cas, alors les archives d'atelier et de caisse de la maison Breguet le mentionnent très probablement. 
C'est juste qu'elles sont dans un coffre en Suisse probablement...


      Pour l'instant, n'ayant pas décidé de reveler que mon vrai nom est Thomas Crown, je continue de suivre la piste de l'article de mai 1926. La piste est sinueuse mais chaque jour ou presque m'apporte de nouvelles infos. La traque touche peut-être à sa fin.
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ChrisC75
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ChrisC75


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MessageSujet: Re: Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire.   Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire. EmptyLun 25 Mar - 21:19

Passionnant !
Merci pour ce récit  thumleft
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DaGau
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DaGau


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MessageSujet: Re: Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire.   Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire. EmptyMar 26 Mar - 7:12

Un joyeux ce Junot Breguet.

Bonne continuation.

https://www.youtube.com/watch?v=7Xuw-XKP1sI
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Bourgui
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Bourgui


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MessageSujet: Re: Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire.   Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire. EmptyMar 26 Mar - 11:50

Cette histoire qui est la votre me fascine.
Pas certain de vouloir connaître rapidement le dénouement…. 😂
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Raxevis Arcofin
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Raxevis Arcofin


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MessageSujet: Re: Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire.   Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire. EmptyMar 26 Mar - 12:13

Bourgui a écrit:
Cette histoire qui est la votre me fascine.
Pas certain de vouloir connaître rapidement le dénouement…. 😂

Je ne peux certes pas jurer que le lien extrêmement ténu qui me rallie à Andoche Junot me soit indifférent mais j'avoue être particulièrement intéressé par le fait qu'il ait regardé l'heure sur des aiguilles pomme évidées sur des cadrans guillochés.

Alors je trouve un certain plaisir à chercher la 7eme montre plutôt que d'attendre que Julia Roberts dépose chez moi une 7787 en or blanc.


Sting disait: Love is the seven wave.
7 est un bon chiffre


(Julia tu peux me contacter en MP)
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DaGau
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DaGau


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MessageSujet: Re: Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire.   Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire. EmptyMer 27 Mar - 2:28

Et comment! ;-)  Mazarinettes https://fr.wikipedia.org/wiki/Mazarinettes#

Quoique ce serait plutôt Les Sept contre Thèbes en cette triste époque.

L'espoir fait vivre et c'est le printemps.
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Granpieds
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Granpieds


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MessageSujet: Re: Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire.   Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire. EmptyMer 27 Mar - 3:08

Junot collectionneur de montres quid 2 
Je comprends mieux pourquoi il est mort fou... jocolor
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DaGau
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DaGau


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MessageSujet: Re: Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire.   Rebondissement dans l'Affaire d'Abrantès - Une autre Breguet dans l'Histoire. EmptyMer 27 Mar - 3:34

Plus Montmartre qu'Empire.

the swagger portrait

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Trois quarts, mains et tarin
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