Je ne sais pas si c'est le prix du neuf qui influence la côte des vintage, mais la perception actuelle que l'on a d'une marque joue certainement. La plupart des acheteurs ne connaissent pas le statut qu'une marque aujourd'hui réputée avait dans les années 30/40 ; Ils essaient de respecter leur échelle de valeur, ce qui peut faire envoler certains prix.
A mon sens, cela relève de l'anachronisme, tout comme l'historien du XXIè qui n'arriverait pas à se délester des ses référentiels (de pensée, de morale,...) pour étudier des documents du Moyen-Age.