Qu'est-ce qui caractérise une montre Lépine ?

Simple curiosité de ma part (et une occasion d'apprendre quelque chose) : j'ai lu que les montres Lépine se caractérisaient la roue de seoconde dans l'axe du remontoir, et/ou que ce type de montre n'avait qu'un seul fond ? Ce qui est le cas de celle-ci que je viens de recevoir, et dont le mouvement est emboîté dans une carrure "monobloc".

Une photo pourrie pour illustrer la chose :



Des infos sur Fero - Feldmann, qui doit être une des innombrables marques qui ont jalonné l'industrie horlogère suisse vant de disparaître ?

Les aiguilles piquent...
je suis déjà dehors...

historiquement, Lépine a inventé le calibre à une seule platine sur laquelle les différents mobiles sont maintenus par des ponts séparés. Avant, ils étaient maintenus entre 2 platines.
Ceci a permi (avec l'abandon de la fusée et de l'échappement à roue de rencontre) un gain notable en épaisseur.

Le terme Lépine actuellement utilisé correspond à la disposition tige de remontoir à 12 h, opposé à savonette, tige de remontoir à 3h.

mais il y a peut-être d'autres définitions ?

Alors Georges a dit:
calibre Lépine ou calibre verre désigne poru al montre de poche une construciton dans laquelle l'aiguille des secondes est placée dans l'axe dela tige de remontoir, par opposition au calibre savonnette dasn lequel l'aiguille des secondes est situées surun axe perpenditulaire à l'xe de la tige de remontoir
donc on retrouve l'idée de 3h pour la savonnette et 12h pour la Lépine. Sinon le truc aussi qu'on m'a toujours dit c'est que la sabonnette est une boite fermée (cf Hunter watch en anglais) alors que la Lépine n'a pas de couvercle sur le verre (Lépine watch ou open-face watch en anglais)

Donc toutes les montres ne se remontant pas par une clé (ou autre système similaire, si ça a existé) perpendiculaire au boîtier sont des "Lépine" ?

En clair, l'immense majorité des montres de gousset.

En suivant ce raisonnement, la savonnette a bien un axe de remontoir perpendiculaire. A l'aiguille des secondes.

Donc il y a autre chose !

Jusqu'ici, je suis plus d'accord avec Bertrand.