LVMH candidat au rachat d'Endemol

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LVMH candidat au rachat d'Endemol
LExpansion.com




Le groupe de Bernard Arnault lorgne l'inventeur de l'émission « Big Brother ». De fait, selon le Financial Times, LVMH serait en lice pour racheter la société de production audiovisuelle Endemol. Pour ce faire, le numéro un mondial du luxe serait associé à Stéphane Courbit, le patron d'Endemol France, l'ex-associé de l'animateur-producteur Arthur, ainsi qu'au fonds PAI Partners. D'après le quotidien britannique, l'inventeur de la télé-réalité serait estimé à environ 2,5 milliards d'euros. Actuellement, le néerlandais Endemol est contrôlé à 75% par l'opérateur télécom espagnol, Telefonica. Pour autant, le « camp » LVMH ne serait a priori pas le seul intéressé. John de Mol, le fondateur d'Endemol, avait ainsi précisé il y a cinq mois qu'il souhaitait racheter sa firme. Depuis septembre, il s'est emparé de 5% du capital. Selon la presse espagnole, il pourrait s'allier avec Disney. A noter que Rupert Murdoch serait également pressenti pour se porter candidat

http://www.lexpansion.com/art/17.0.154467.0.html

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Bernard Arnault prêt à épauler Courbit pour la reprise d'EndemolPAULE GONZALES.
Publié le 27 février 2007





Bernard Arnault, le patron emblématique de LVMH regarde le dossier de vente d'Endemol, la maison de production détenue par l'opérateur espagnol Telefonica.
Soriano/Le Figaro.


IL EST la caution idéale, et pourrait devenir l'allié incontournable. Bernard Arnault, le patron emblématique de LVMH regarde le dossier de vente d'Endemol, la maison de production détenue par l'opérateur espagnol Telefonica, révèle le Financial Times. De la même manière qu'il avait accompagné l'homme d'affaires et président d'Endemol France, Stéphane Courbit, sur le dossier de droits sportifs Sport Five, il pourrait épauler ce dernier sur l'un des dossiers les plus spéculatifs de la planète médias depuis les deux dernières années. Mais si tant est que Bernard Arnault apporte son soutien - à titre personnel via le Groupe Arnault -, son intervention restera symbolique, ne dépassant pas les 30 millions d'euros. « Un placement de bon père de famille davantage qu'une prise de participation stratégique », affirme un proche du dossier.


Or la valorisation d'Endemol s'élève aujourd'hui à 2,5 milliards d'euros avec une action à 21 euros contre 9 euros il y a dix-huit mois. Stéphane Courbit, qui entend monter un LBO, ne disposerait à ce jour que d'une manne de 250 millions d'euros.


Rachats échelonnés


La présence d'actionnaires importants comme les fonds d'investissement paraît donc inéluctable. PAI est le premier sur la liste des partenaires possibles. S'il dispose largement de quoi opérer tout seul, ce fonds, pour l'instant absent des investissements dans les médias, sait que le succès des maisons de production repose sur leur management. Incontestablement, c'est le talent d'Arthur et de Stéphane Courbit qui ont assuré le succès d'Endemol France. La présence de ce dernier est donc souhaitable. Si l'affaire se faisait, Stéphane Courbit n'en serait pas à moins de sa troisième transaction sur Endemol.


En 2002, il avait négocié un rachat échelonné d'Endemol France avec Telefonica dont il vient, il y a quelques semaines, de toucher un complément de 450 millions d'euros. Et aujourd'hui, il reste incontournable dans tout processus de vente puisque Telefonica aurait eu encore à payer, d'ici à trois ans, un complément de prix de 194 millions d'euros si l'opérateur avait eu l'intention de garder Endemol. Cette clause complique donc l'opération de cession en cours.


Mais elle ne devrait pas décourager pour autant tous les candidats au rachat, à commencer par John De Mol, l'inventeur de la téléréalité. Ce dernier avait fait une belle transaction en vendant son bébé à Telefonica pour 5 milliards d'euros au début des années 2000. Entouré de Goldman Sachs, Permira, Apax mais aussi du groupe Mediaset, il tente de monter un tour de table dont le montant reste deux fois inférieur à ce qu'il a touché de l'opérateur espagnol. Cependant, chez Telefonica, revendre pour moins cher ce qui a été acquis une fortune auprès du même homme est difficile à accepter. Voire impossible.


Une troisième offre réputée sérieuse pourrait donc être étudiée. Celle de l'éditeur italien De Agostini déjà présent dans la télévision via sa filiale Magnolia Production. Il ne faut désormais attendre que quelques jours avant que Telefonica n'ouvre officiellement la vente sous les bons auspices de Lehman Brothers et Merrill Lynch.

http://www.lefigaro.fr/medias/20070227.FIG000000115_bernard_arnault_pret_a_epauler_courbit_pour_la_reprise_d_endemol.html

NATAF A LA STAR'AC !!!

NATAF A LA STAR'AC $$$

Si mes infos sont bonnes, Arnault ne voudrait mettre qu'un petit ticket, tout petit mème.
En revanche, un qui "risque " de faire une belle culbute, c'est le Néerlandais;
du coup , il ne risque pas de l'avoir MOLL ! MOL euh , non LOL