Il faut se rendre à l'évidence la reprise va faire regretter d'avoir réduit les filières de formation aux métiers de l'horlogerie.
On voit maintenant dans la presse des offres d'emploi là ou auparavant on en trouvait très rarement.
Le relance du marché n'y est pas pour rien.
Les horlogers sont souvent orientés ver sla production la plus rentable et un peu moins vers le SAV et là , c'est dommage.
Les réparations ont tendance à s'éterniser ( mais pour le client c'est toujours trop long) et les marques ( certaines au moins ) font appel à des personnels qui n'ont pas toujours une qualification à toutes épreuves.
La qualité du SAV est pourtant un paramètre qui compte dans l'image d'une marque et certaines ont mis des années à convaincre que rien n'était plus comme avant ...
Pour compenser celà, la débauche "sauvage", la surenchère ...mais le problème est ailleurs , qui entredientra dans 10 ans ces montres à complications , tourbillons et répétition minutes si aujourd'hui la question n'est pas anticipée ?
Au delà du profit immédiat, il faut aussi réfléchir à cela pour les marques d'une part et aussi d'autre part, pour les clients.
Un article intéressant à lire ici
http://web.montrespassion.ch/index.cfm?id=581
_________________
Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).