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Nicolas Hayek n'a pas digéré de s'être fait remercier par les Allemands, qui ont en plus salopé son projet de Swatchcar en Smart vendue trop cher. C'est pratiquement le seul gros échec de sa carrière et c'est la dernière revanche qu'il veut prendre en tant qu'entrepreneur...
Les équipes du Swatch Group lancées sur l'électronique (EM MicroElectronic, à Marin, en Suisse) n'ont jamais cessé d'avancer sur ce sujet. Le Swatch Group est très au point dans ce domaine et fabrique des pièces pour la téléphonie ou les ordinateurs.
Et, aussi, des moteurs électriques : l'idée est de faire avancer une voiture électrique en mettant un mini-moteur électrique sur chaque roue...
Tout ça est au point, le tout est de trouver un constructeur moins obtus que les autres.
Comme Nicolas Hayek en veut aux Européens et que les Chinois n'ont rien à perdre, il prospecte en Asie, non sans succès. Il regarde aussi du côté de l'Inde, de la Thaïlande et la Corée. Ce sera son dernier pied-de-nez à l'establishment suisse qui se permet encore des allusions douteuses à son aventure malheureuse dans l'automobile...
En tout cas, la future Swatch Car sera écologique (c'est une vrai conviction chez les Hayek), bon marché et créative. Ce sera une vraie Swatch, mais avec des roues...
Et il n'est pas impossible que ce soit une Hayek Car !
Moi, en tant que watch lover, j'en veux une tout de suite...
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