Bonsoir Milou ,
Ecoutez la voix de la sagesse !
En l' occurence , ce soir , c'est celle de notre ami "brunod"
C'est bien du cas par cas !
La solution parfaite est bien , lorsque c'est possible , de "reprendre" le pignon acier sur le tour , de rectifier la "portée"
destinée à recevoir la roue laiton , et ce , dans le but de supprimer au burin la déformation qu' ont subies
les ailes du pignon lors du rivage initial de cette dernière ... cette opération permettra de présenter et remettre à nouveau et sans forcer
l'alésage de la roue sur le pignon .
Avec cette façon de procéder le centrage de la roue
frise la perfection !
Si c'est possible (c.à d. si les "partagements" des mobiles le permettent) et si l'on possède un tour , on pourra retoucher
l' assise de la roue , ce qui permettra de "reprendre" la "piqure" .... la roue se trouvera un peu plus basse
(à condition que le partagement le permette ) et on pourra à nouveau faire une rivure correcte et comme neuve !
En l'absence de tour (toujours en "pendulerie et réveils" , on pourra , à l'aide d'une "lime aux échappements appropriée ,
supprimer , autant que faire se peut , les extrémités des ailes du pignon déformées par l'ancienne rivure ,
on remet la roue en place et on tente de river-fortà nouveau ... si les ailes acceptent de se déformer à nouveau ...
c' est du "tout-bon"....
Il conviendra de tenir compte de quelle roue s' est dérivée .... si c'est une roue de moyenne , proche du barillet ,
l'opération est délicate et il faudra être certain de la solidité de l'opération ....
Une roue de moyenne qui se dérive ...inopinément ...
Bonjour les dégats ... et si c'est la magnifique pendant-officier que l'on vous à confiée avec "moult-recommandations" ..... Bref ! "Vaut mieux pas y penser
J'arrête mon baratin de vieux maniaque , obscur et fastidieux à souhait , c'est presque plus rapide de le faire que de le dire ...
Quelques images et ,
Bonne soirée à tous
bernard