Une étude marketing qui date un peu mais mais qui montre toute la difficulté d'évaluer le marché et ses tendances ...C'est extrait d'un journal Suisse "L'impartial ".
Peu d’études existent. Une des plus récentes a été publiée en 1996 par Philippe Monnet de l’INM Dijon. Elle porte sur l’horlogerie en France.
L’étude marketing qui segmente le marché du bijou en cinq catégories de consommateurs est tout à fait applicable à la montre. On y retrouve globalement les mêmes profils et les mêmes comportements d’achat, explique-t-il.
La typologie du consommateur est divisée en cinq catégories:
– Les profiteurs: ils représentent 29% des consommateurs de montres. Ce sont essentiellement des femmes, plutôt receveuses qu’acheteuses.
– Les obligés: 25% des consommateurs du produit montre. Ce segment est constitué d’hommes plutôt âgés qui achètent s’ils ont une grande occasion d’offrir. Il s’agira d’un cadeau d’exception.
– Les amateurs: 24% des personnes. Ces consommateurs sont plutôt d’âge mûr. La montre représente pour eux un cadeau à offrir ou à recevoir. Ils ne sont généralement pas amateurs de fantaisie.
– Les fanatiques: ils sont 16%, surtout jeunes, et il achètent beaucoup pour eux et pour les autres.
– Les réfractaires: 6% seulement, constitués d’une population âgée, très peu acheteuse.
Tout l'art du marketing va être de parler à tout le monde avec le même support...
A+
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Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).