Actu: Les détaillants horlogers au régime grosseur

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Il est parfois des coïncidences frappantes. Au moment même où Watches of Switzerland Group (WOSG), un des premiers détaillants horlogers mondiaux, annonçait la réouverture de ses quelque 100 boutiques au Royaume-Uni le 15 juin, le cours de ses actions cotées au London Stock Exchange renouait avec la cotation initiale des titres lors de l’entrée en Bourse de la société il y a un an, le 30 mai 2019. À cet égard, le parcours boursier de Watches of Switzerland n’est pas sans intérêt. Après avoir très vite flambé sur les marchés financiers, synonyme d’une hausse de plus de 40 % en quelques mois, les actions WOSG ont perdu la moitié de leur valeur à la suite du marasme né du Covid-19. Et pour cause, la totalité des 140 boutiques du Groupe ont dû fermer leurs portes le 19 mars aux États-Unis et le 23 en Grande-Bretagne, avec pour seule alternative de « limiter la casse » en poussant les ventes en ligne. Autant dire que la perspective de mois de fermeture forcée n’avait guère de quoi réjouir les investisseurs

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https://journal.hautehorlogerie.org/fr/les-detaillants-horlogers-au-regime-grosseur/

Dépendre de Rolex pour 50% de son CA, j’avoue que c’est un sacré risque (avec le risque aussi que la marque rabote aussi la marge des ADs) même s’ils se targuent de distribuer Rolex depuis les années 30 de mémoire mais tout à une fin, demandez à Baselworld ou Rolex était aussi présent depuis les années 30.
La vente en ligne de ces ADs est aussi risquée car les fabricants (comme Rolex) pourraient se dire qu’ils pourraient le faire de la même façon. A horizon 10/15 ans, ce n’est pas sur un groupe côté de ce type que je mettrai mes billets en tout cas !

En l’occurrence leur dépendance à Rolex (partenariat?) a l’air d’être win win, Rolex supprime des ADs non WoS au UK et on tend malheureusement vers une distribution quasi exclusivement WoS.
Ils ont limite la casse en écumant les listes par téléphone en demandant 100% du montant et collection à l’ouverture

100 boutiques rien qu’au RU. Mazette 


Et obtenir des crédits de la part des futurs clients pour renflouer les caisses pendant le COVID - faut le faire. Et, AMHA, être assez gratiné pour filer ses thunes à un magasin dans ces conditions...