en 1925, la télégraphie ne permettait pas d'avoir le prix, la cote d'une montre; et encore moins sa couleur.... mise à part quelques privilégiés parisiens.
Une vraie montre, pas une daube à 3 aiguilles et 4 roues, se payait pour celui qui la voulait, ou bien se vendait une misère.
Ainsi, pour les plus malins, la collection se montait avec la sueur du front.
Aujourd'hui, sauf pour la vraie montre, c'est presque fade de collectionner, surtout de la montre à 5000, voir 100000 exemplaires!