ZEN
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 | | Sujet: Louis Erard Lun 31 Oct 2005 - 16:23 | |
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Depuis deux ans et le rachat de la marque par un groupe d’investisseurs, Louis Erard innove de manière fort intéressante. Renouveau qui se traduit cet automne par une belle réussite: un chronographe carré à mouvement automatique pour moins de 2000 francs.
Tous les designers et créateurs poursuivent le même rêve: dessiner l’objet parfait. Ils y sont parvenus avec ce chronographe carré imaginé par les frères Scarinzi (Renato et Marco), de Bienne, qui travaillent main dans la main depuis des années, et surtout en bonne harmonie avec les deux artisans du renouveau de Louis Erard, Alain Spinedi (administrateur délégué et CEO) et Olivier Calame (directeur opérationnel). C’est à eux, et bien sûr aux quinze autres collaborateurs de cette petite mais ultra-dynamique structure, que l’on doit la réémergence de cette marque discrète qui, de surcroît, somnolait depuis le début des années 1990. » L’entreprise Comparer le catalogue d’il y a dix ans avec celui qui existe aujourd’hui donne une idée de l’ampleur du changement opéré. Avant: un ensemble trop vaste de collections aux lignes mal définies. Maintenant: cinq familles (1931, Héritage, La Carrée, La Sportive, La Montre de poche) à l’identité bien marquée, aux standards techniques et qualitatifs élevés et, cerise sur le gâteau, aux prix raisonnables. Tel est le défi d’Alain Spinedi, qui entend proposer à tous les amateurs de montres mécaniques «Swiss made», mais ne possédant pas tous le porte-monnaie de Bill Gates ou d’Ernesto Bertarelli, des produits dans des segments de prix accessibles. Soit dans une fourchette comprise entre 600 et 2000 francs. » Le look Quant à la facture esthétique des montres Louis Erard, elle se veut avant tout classique et intemporelle, mais cherchant évidemment aussi à intégrer les tendances de l’époque. En témoigne La Carrée (classique ou chrono), qui répond au goût manifesté actuellement par les femmes comme par les hommes pour les montres à gros calibre. » L’avenir A en croire le développement de la marque, le pari est en passe d’être tenu. En 2004, Louis Erard disposait de quelque 400 points de vente dans le monde. A la fin de cette année, ce chiffre devrait doubler. L’objectif est de passer à 2000 en 2010. Elle trouve donc gentiment mais sûrement sa place sur un marché qui compte tout de même quelque 400 marques http://www.worldtempus.com/wt/1/9513/
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Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).
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