Bonjour
Je ne vous ai jamais parlé de mon cousin américain Edgard J. C'est que ma famille est grande. De même vous ignorez tous de Charles André de Mosbilo sans accent sur le o s'il vous plaît. Mon goût immodéré pour l'histoire me pousse à vous expliquer comment ma famille est devenue l'une de celles qui compte le plus dans l'horlogerie.
Mon ancètre, Faliane Mosbilo était Anglaise par son père et en terre par sa mère décédée à la naissance. Le père de Faliane, Sir Victor de Mosbilo, se remaria avec Réjane Latarzane descendante de Liane de Jungle et eut en secondes noces un fils, Hubert de Mosbilo. Les De Mosbilo furent anoblis par le Roi d'Angleterre en 1714. Je dois à ce stade vous parler de Victorien Mosbilo, la précendente génération et des conditions dans lesquelles il devint De Mosbilo. Pour arriver à ce rang, sachez qu'il accepta de prendre pour épouse une cousine du roi, enceinte jusuq'aux yeux de son cousin et obtint en contrepartie de la reconnaissance de l'enfant, ses titres de noblesse.
Les De Mosbilo furent divisés en 2 branches, la branche de buis et celle des horlogers. La branche de buis termina entre quatre planches et celle des horlogers vit la naissance de Justin de Mosbilo en 1761. En 1772, le jeune homme à 12 ans inventa le remontage automatique. L'enfant fut confié à sa tante pour cause de diphtérie des parents et échoua en Belgique dans une famille dont le père était horloger. Justin présenta son invention à celui-ci qui lui proposa de perler la platine pour en améliorer la décoration.
L'enfant fut séduit par cette intervention. Hélas, le jour ou l'horloger allait montrer à l'enfant comment réaliser cette amélioration esthétique, un orage de grande vigueur éclata et foudroya Justin sorti de l'atelier pour faire rentrer le chat qu'il avait frauduleusement emporté avec lui en Belgique.
Mon ancétre fut rapatrié en Angleterre mais il avait perdu l'usage de la parole. Un suisse spécialisé dans les travaux de rééducation, un certain Sismondin Chapuis fut appelé à son chevet pour le soigner.
L'enfant n'avait d'yeux que pour son mouvement et le balançait en permanence. Chapuis, igorant tout des talents du bambin comprit qu'il fallait intéresser l'enfant avec la montre.
Lorsqu'il demandait à celui-ci qui avait fabriqué cette montre, celui-ci répondait systématiquement "perler", dernier mot entendu avant l'accident. C'était d'ailleurs le seul mot qu'il prononçait intelligiblement.
Avant de laisser repartir l'enfant, Sarton l'horloger Belge qui avait hébergé l'enfant, signa son travail de décoration comme pour le dédicacer en souvenir de ce bambin qu'il avait voulu protéger. Le petit fils de Sismondin Chapuis baigné toute sa jeunesse par cette histoire en déduisit que Perrelet avait inventé cette montre automatique mais il s'agissait vous l'avez compris, d'une confusion avec le mot perler. Lorsqu'il devint historien, il répandit cette confusion.
Des chercheurs aujourd'hui considèrent que Sarton est bien l'inventeur de la montre automatique au motif que son nom figure sur la pièce mais c'est en fait, Justin de Mosbilo qui a crée cette montre, témoignage extraordinaire de son talent horloger.
Je lance donc un appel pour trouver si par hazard mon ancètre Justin de Mosbilo aurait produit d'autres montres. Je remercie chacun de rechercher dans sa collection, si une Mosbilo ne traine pas au fond d'un tiroir et je vous en remercie au nom de toute la dynastie des Mosbilo horlogers.