Faites vous confiance à votre horloger de quartier?

ft1000mp a écrit:

2 insultes dans la même phrase c'est mieux ? je vais commencer par le tien si tu n'y vois pas d'inconvénient  

trop drôle   tu qualifies comment de tels propos ? vous tolérez des propos racistes comme d'hab....
m'enfin l'horlogerie est au dessus de tout cela n'est-ce pas ? c'est pas grave...    

le mot n'était pas complet , simple interprétation ..   

@didiersept: Tu ne vas pas me prendre la tête ce Dimanche matin ok ? j'ai modéré Km'rol qui a été maladroit mais tu as été pire dans ton commentaire insultant, profiter d'un mot malheureux pour déverser sa haine on connait.... les vierges effarouchées aussi.

... on reprend sur le sujet initial.   

didiersept a écrit:

ce n'est pas un horloger de quartier et ils sont spécialisés dans les horloges et les montres suisses...  

pourquoi? c'est bien un horloger de quartier puisqu'il n'est affilié à aucune marque et Rue Lépante ça n'est pas vraiment la zone des boutiques de luxe niçoises...  

Pour ma part, plusieurs cas pour bâtir mon opinion.

Lorsque je vivais en Irlande, que dalle. L'horloger qui soit soit-disant connaissait tout sur tout envoyait les pièces plus compliquées sur Londres...Bref, des clanches.   
En Allemagne, j’avais il y a encore environ 1 an mon horloger de quartier. Très sympathique, ouvert à tous. Pas le genre à dire: 'b'jour. lassez-moi la et je vous donnerais un devis'.
Il n'a jamais rien refusé et a toujours réviser mes LIPs, chose qu'il appréciait, bizarrement. Mais je m'en veux aussi de ne pas lui avoir donner des pièces plus intéressantes. Il faisait de la repet' minute sans problème, mais n'avait quasiment jamais rien à vendre. D'ailleurs pour moi (avis perso hein) un horloger doit savoir tout faire, du mouvement de base jusqu’à la repet' minute, montre à coq etc. C'est tout de même leur boulot de savoir tout faire...

Malheureusement, quasiment fauché par une saloperie, il ne fait plus rien aujourd'hui. Plus de lueur dans l’œil. Dépité le monsieur.   J'ai bien essayé de lui rendre visite juste pour parler mécanisme (il adorait ça de transmettre aux autres), mais non, aucune envie de sa part et ça se respecte.

Du coup, j'ai cherché un peu ailleurs, mais 'mon horloger de quartier' actuel n'est pas le même. Content pour une révision, pas trop pour la seconde...Bref, je ne trouve plus l'homme de confiance. Et c'est un peu pour cela que depuis quelques mois, j'essaie de m'occuper des quelques LIP et autres tout seul. Les mouvements simples quoi. Mais j'ai très peu de temps pour cela...

Coté tarif, pareil, j'ai ma propre idée la dessus. L'artisanat, c'est bien joli, mais faut pas prendre les gens/clients pour des cons non plus. Le fait que l'artisan doit financer ses vacances, sa santé, sa retraite et j'en passe, c'est pas mon problème. C'est un choix à faire lorsque l'on travaille à son compte. Donc moi je ne juge que par le devis proposé et mon estimation du boulot à faire. Une révision d'un mouvement classique pour un professionnel, c'est deux heures max lavage compris. Un chronographe, un peu plus, etc. Donc j'en déduis rapidement son taux horaire et j'avise en fonction. Mais l'horloger dont je parlais plus haut, jamais aucun soucis pour les tarifs. Une révision à 180? J'ai laissé plusieurs fois le biffeton de 200 sans demander mon reste et ça nous allait très bien comme cela. Confiance bi-directionelle construite au fil des mois...

Une montre encore sous garantie, un calibre encore peu connu des indépendants (Calibre Royal...)? Direct chez l'AD, sinon horloger de quartier à 100%. Si je possédais une Patek ou Lange vintage, je réfléchirais probablement avant de la laisser à un indépendant, et encore...

Mais maintenant, je dois tout recommencer...

Confiance absolue et a priori favorable, sauf que... l'horloger de mon quartier, pourtant en possession d'une boutique historique, a beaucoup perdu de savoir-faire depuis qu'il ne vend presque plus que des montres à quartz dont il n'a qu'à ajuster les bracelets et remplacer les piles.
Mon quartier s'est donc étendu à la " grande banlieue" : Compiègne au nord et Pithiviers au sud   
Mais je milite fortement pour la défense du quartier et de l'emploi local (traduire : régional ou français si possible), pour des raisons évidentes de bon sens.