Jusqu'où aimez-vous les montres ?

libero a écrit:

Je crois que le tout est de ne pas gâcher le plaisir que constitue le fait de posséder ses montres et de continuer à les désirer.

Il est possible (à force de consulter FAM d'ailleurs ) de se générer des envies permanentes de nouvelles montres.
Du coup; celles que l'on possède perdent une partie de notre intérêt et l'on peut s'inscrire dans une spirale dangereuse: le toujours plus. Plus de montres pour réhausser le niveau de satisfaction attendu, pour renouveler l'émotion et on peut alors tomber dans une véritable addiction.

Et c'est là où l'on peut craindre d'inverser les priorités entre l'essentiel et l'accessoire, de se lancer dans des crédits qui à la longue, si l'on y prend pas garde peuvent se révéler de bien mauvaises affaires.

Saint Augustin disait que la clé du bonheur résidait dans le fait de continuer à désirer ce que l'on a.

Pour ce qui me concerne, j'essaie d'appliquer ce principe car j'ai eu tendance, dans un passé qui n'est pas si lointain, à m'en éloigner.

Mais, je n'ai jamais eu recours à un crédit.
Mes choix horlogers et ma situation matérielle me permettent de m'en dispenser pour le moment.
Je ne juge pas du bienfondé de ne pas recourir au crédit.
Peut-être que dans un autre contexte, j'y aurai recouru.
Mais, je veille à ne pas m'enflammer !

Mettre un peu (beaucoup) de raison dans ma passion

Eh bien voilà un post tout en sagesse, avec une petite citation de Saint Augustin au milieu pour donner du poids à la réflexion, un truc à encadrer et à relire attentivement lorsqu'on est prit de CHI, histoire de nous remettre les pieds sur terre

David123 a écrit:

libero a écrit:

Je crois que le tout est de ne pas gâcher le plaisir que constitue le fait de posséder ses montres et de continuer à les désirer.

Il est possible (à force de consulter FAM d'ailleurs ) de se générer des envies permanentes de nouvelles montres.
Du coup; celles que l'on possède perdent une partie de notre intérêt et l'on peut s'inscrire dans une spirale dangereuse: le toujours plus. Plus de montres pour réhausser le niveau de satisfaction attendu, pour renouveler l'émotion et on peut alors tomber dans une véritable addiction.

Et c'est là où l'on peut craindre d'inverser les priorités entre l'essentiel et l'accessoire, de se lancer dans des crédits qui à la longue, si l'on y prend pas garde peuvent se révéler de bien mauvaises affaires.

Saint Augustin disait que la clé du bonheur résidait dans le fait de continuer à désirer ce que l'on a.

Pour ce qui me concerne, j'essaie d'appliquer ce principe car j'ai eu tendance, dans un passé qui n'est pas si lointain, à m'en éloigner.

Mais, je n'ai jamais eu recours à un crédit.
Mes choix horlogers et ma situation matérielle me permettent de m'en dispenser pour le moment.
Je ne juge pas du bienfondé de ne pas recourir au crédit.
Peut-être que dans un autre contexte, j'y aurai recouru.
Mais, je veille à ne pas m'enflammer !

Mettre un peu (beaucoup) de raison dans ma passion

Eh bien voilà un post tout en sagesse, avec une petite citation de Saint Augustin au milieu pour donner du poids à la réflexion, un truc à encadrer et à relire attentivement lorsqu'on est prit de CHI, histoire de nous remettre les pieds sur terre

+ 1

Le crédit reste, pour moi, un dernier recours à une véritable nécessité, voire une obligation...
En ce qui me concerne, jamais l'achat d'une montre ne répondra à l'un ou l'autre de ces cas.
Donc le crédit est hors de pensé pour l'achat d'un plaisir.

Amicalement

ZEN a écrit:

Seriez-vous prêt à ouvrir un crédit pour vous acheter une montre ? Iriez-vous jusqu'à vous priver de vacances ou à vous retenir sur d'autres dépenses ?

oui je préfère ma montre a ma voiture vaux mien avoir 10 000€ au poignet plutôt que 10 000€ qui dehors

J'ajoute quelque chose à mon premier post, en y réfléchissant, même si je ne ferais pas de crédit pour une montre, si par exemple, je faisait un gros crédit dans l'immobilier par exemple, je rajouterais peut être quelques milliers d'euros dans l'enveloppe pour une CHI... J'avoue...

Neo[blue] a écrit:

J'ajoute quelque chose à mon premier post, en y réfléchissant, même si je ne ferais pas de crédit pour une montre, si par exemple, je faisait un gros crédit dans l'immobilier par exemple, je rajouterais peut être quelques milliers d'euros dans l'enveloppe pour une CHI... J'avoue...

Pas aussi simple, les banques exigent des factures.

Achat à credit ? Non, jamais ! car on ne peut plus negocier le prix de l'objet convoité, cash is king !

Je suis très déraisonnable s'agissant de montres. N'ayant pas toujours les moyens de les collectionner, parfois j'en lâche une pour en acquérir une autre.

Pour la dernière, j'ai eu recours au crédit, n'ayant pas, à ce moment, suffisamment de liquidité à disposition.

Sinon, tout est question de choix, je choisis plutôt de dépenser pour une montre que pour autre chose...

Sans grande originalité je rejoins la plupart d'entre vous.
Effectivement si le recours au crédit semble être une solution comme une autre pour acquérir une montre, cela me diviserai le plaisir en autant de mensualités.
Je m'explique, quand aprés avoir attendu (économisé) le temps qu'il fallait pour obtenir la belle, le plaisir de l'avoir au poignet ne peut être gaché par l'éventualité d'avoir à attendre le dernier versement pour envisager un autre achat.
Avec l'achat en cash, une fois acheté, on garde les bonnes habitudes d'économie et on peut se projeter sur la prochaine...

Personnellement, pour ce genre de chose, je suis contre le crédit qui, AMA, doit être réservé à d'autres projets tels qu'une voiture, une maison... mais pour une montre, madame Choumac me tuerait c'est certains.

Et puis cela est trop facile cela va trop vite.

Le fait de passer par le dur labeur de l'économie à long terme permet de désirer la chose au plus haut point et une fois achetée de la savourer.

En ce qui me concerne, je me suis fait un beau cadeau pour mes 40 ans et je remet le couvert aux 50, ce qui me laisse grandement le temps de mettre de coté mes petits Roro, sans que le budget, famille, vacances, plaisir avec les gamines en pâtisse.

Et voilà