Un vieil ami me demande de lui trouver une montre Omega. Il veut un chrono. Pas forcément une Speedmaster mais un chrono qui tienne la route des années 60 ou 70.
Je lui conseille la baie mais non. Il veut la toucher avant. On m'en signale une mais pas le droit d'ouvrir? Je lui indique mais lui déconseille. le prix est correct mais la montre aura besoin d'une révision. Il fonce achéte sans négocier. Le mouvement est un 320 Lémania en piètre état. La montre ne valait pas ce prix, un horloger va lal lui réparer . au final elle lui aura couté trop cher à mon sens. Il est content car il a ce qu'il cherchait. Je le suis moins car j'ai servi d'intermédiaire à une opértion que je ne considére pas bonne.
Il me remercie car il cherchait depuis un an, j'ai le sentiment d'avoir participé à une inflation inutile, il en redemande, j'aurais préféré lui fauire faire une autre affaire.
Il a eu le mot de la fin, "Tu voulais me faire acheter un prix, j'ai acheté une montre" Je voulais lui faire acheter une montre au bon prix. Manifestement le bon prix est très très subjectif.
Conseiller est finalement délicat... trop délicat. Pas d'état d'âme juste qu'on finit forcément par ne voir que les objets à force d'en voir beaucoup.
Conseillez-vous parfois des achats d'occasion en désignant l'objet à acheter ? Je vais me l'interdire.
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Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).