Cote des montres anciennes

En ce qui concerne les montres anciennes, les bonnes affaires peuvent se faire partout... mais certaines sources sont réputées plus prometteuses que d'autres.
L'essentiel étant de connaître parfaitement les montres qui nous intéressent, car il faut parfois aller vite.

dans le gousset y'a moins de problème de trafic que dans le vintage je trouve, et les bidouilles sont plus facilement repérable.

en plus faut dire que je ne m’intéresse pas a une montre en fonction de sa cote, de sa rareté, etc.

C'est plus la qualité technique qui me séduit, donc facile a repérer avec un peu d'expérience.

mais comme tous le monde que je suis déjà pris des bananes... Relativement peu je trouve...

et aussi de très belles surprises!

après tout c'est en ce brûlant que l'on apprend le mieux!

Tout est aussi question de temps disponible.

S'il est possible de trouver de "belles pièces" sur le net (Omega de base, etc...), il me semble également évident que les VRAIES pièces horlogères se débusquent "en vrai", par des contacts, des années de pratique, etc... Des choses que je n'ai pas le temps d'avoir (et sans doute pas le talent non plus, chacun son domaine).

Ne connaissant pas Arno, ne lui ayant jamais parlé, et ayant mis les pieds sur ce forum pour la première fois à une époque où ses posts étaient plutôt du genre intimidants, je me vois mal parler de lui. Toujours est-il qu'il me semble avoir compris que dénicher de belles choses (euphémisme) n'est pas juste sa passion, mais aussi son gagne-pain. Le peu qu'il a pu dévoiler de sa collection laisse rêveur (la Genève Dynamic en or massif, purée). Maintenant, j'imagine qu'il s'agit d'une collection amassée sur des décennies, avec du talent de négociation, des contacts, des déplacements, etc... Bref, c'est un métier à temps complet.

Pour ma part, ce temps-là, je ne l'ai pas. Et sans doute pas le talent non plus. Je bosse 40 heures par semaine, j'ai une compagne (hélas ), et des tas d'autres choses à faire le weekend. Donc quelle solution ? Internet. Voilà, je pense que l'explication n'est pas plus compliquée, et qu'elle ne concerne pas uniquement ma modeste personne. Bien évidemment que pour de la véritable horlogerie, le net n'est pas la panacée. Bien sûr que pour alpaguer des merveilles, il ne suffit pas de fouiller sur des sites d'enchères. Seulement, pour le salarié ayant la flemme de se bouger en weekend, et d'autres occupations, comme on dit, faute de grives on mange des merles.

Par des "contacts" réels, entendez famille, amis d'amis, en quelques années, je n'ai pu mettre le grappin que sur une Souveraine, une plongeuse Yema, et quelques Dauphines (mettre le gratin... sur des Dauphines...). Parce que des relations, ça se travaille, parce qu'un réseau, ça se met en place, ça s'entretient.

Bref, nous ne boxons pas dans la même catégorie. Aussi, des Seamaster ou des Deville à 70 Euros trois fois par an, et bah finalement ça me va.

Pour le reste, pour les merveilles, je me contente d'ouvrir les posts de certains ici (Arno, Chp, Plume68, etc...), et je rêve. Merci à eux.

Bonne analyse!

guzzijef a écrit:

Bonne analyse!

Fausse en ce qui me concerne.
Je ne suis pas du tout marchand de montres.
Je collectionne depuis de longues années, simplement.
J'ai de nombreux contacts.
Je suis antiquaire de profession.
Et mon épouse dans le notariat ... c'est vrai que ça aide.
J'ai bossé jusqu'à 15 heures /jour, 7jours/7 et jusqu'à 4, voir 5 mois sans interruption et 100 000 kms/an.
Souvent, le mardi soit, mes 35 heures étaient pliées.
Et oui ... ma pôve Lucette .... ... point facile ...

Arno a écrit:

Fausse en ce qui me concerne.

Je parlais de mon cas, je savais que cela ne s'appliquait pas du tout au tien.

Arno a écrit:

Je collectionne depuis de longues années, simplement.
J'ai de nombreux contacts.
Je suis antiquaire de profession.

Il y a quand même un lien avec les montres anciennes, même si ce n'est pas (du tout) horloger. Ça doit aider aussi!