qui serait prêt........

.........à vivre sa passion horlogère et en faire son métier ?

Moi !
Blague a part je me vois tres bien dans ce milieu pasionant /ludique pour lequel le travail est un vrai plaisir ! Reste a juste a se pousser au fesses !

J'y penseparfois en me rasant.

heeuuuu... on va dire que j'y touche presque

C'est un rêve, je me pose tjr la question, je suis en pleine période de ré-orientation professionnelle, d'ailleurs je profite de ce post pour demander si parmis vous qqun pourrais nous faire une mini liste des metiers en rapport avec l'horlogerie .

A plus

En ce qui me concerne, je n'y pense pas seulement en me rasant.

Comme les parents disent, passe ton BAC d'abord. Ce qui me laisse encore deux ans. Maintenant, si mon employeur revoyait à la hausse son "incitation au départ", je pourrais accélérer la cadence.

Christian.

pluxux: sans etre un grand manitou de l'unvers horloger, je pense que vu les multiples facettes de ce monde (conception, fabrication, vente etc) il doit y avoir pas mal d'oportunites quand meme... maintenant, ca depends de tes qualifications/specialisations a toi surtout...et si a celles-ci, tu combines ta passion et un minimum de chance, pourquoi pas?

Je fais ici une réponse un peu HS, dans la mesure ou la vie des rats perdurera après les contributions, mais en faire un autre vrai hobby pour les jours où je ne pourrai pas (plus) voler, oui, sans hésitation !

J'espère seulement que ça finira mieux que pour Louis le seizième et sa passion pour la serrurerie

Sans qualification technique particulière, pour un simple passionné, le commerce de tocantes est une des seules activités possibles en indépendant (quitte à se réorienter, autant être son propre patron hein ).

Ca me plairait, mais quant à en vivre, c'est une autre histoire, y'en a un paquet qui ne nous ont pas attendu pour s'installer

steyr a écrit:

En ce qui me concerne, je n'y pense pas seulement en me rasant.

Comme les parents disent, passe ton BAC d'abord. Ce qui me laisse encore deux ans. Maintenant, si mon employeur revoyait à la hausse son "incitation au départ", je pourrais accélérer la cadence.

Christian.

Mais steyr... Tu as quel age???

Personnellement, j'y songe sérieusement, une fois mes études de commerce finies...

Bob le bricoleur a écrit:

Sans qualification technique particulière, pour un simple passionné, le commerce de tocantes est une des seules activités possibles en indépendant (quitte à se réorienter, autant être son propre patron hein ).

Ca me plairait, mais quant à en vivre, c'est une autre histoire, y'en a un paquet qui ne nous ont pas attendu pour s'installer

C'est exactement ce que je pense, difficile de devenir technicien, je sors d'un bac Eco, j'ai fais du droit (niveau licence) actuellement employé dans le commerce, je me verais bien dans l horlogerie mais comment ?
Devenir revendeur, il y a des possibilites mais j'ai l'impression que c'est un domaine assez fermé, non ?

J'ai eu mon C.A.P. d'horloger à 32 ans. Et je suis, comme je le disais, dans ma première année de BAC pro.

A cet âge une reconversion poserait plusieurs problèmes. Redémarrer de zéro ne me gène pas en soi, mais avec une famille à charge, c'est quelque chose qui se réfléchit à tête reposée.
Et puis un profil atypique, "un peu bon partout", mais excellent nulle part. Difficile de trouver sa place dans une manufacture. Mais il faut dire que je n'ai pas encore vraiment cherché.

Voilà, tout ça est à réfléchir... mais c'est une vraie volonté pour du moyen terme.

Christian.

J'ai tenté il y a qques années: Sans un très solide portefeuille et un excellent bagage technique, le tien ou celui d'un horloger qualifié qui t'accompagne, les grandes marques ne viennent pas. Alors vendre des montres à 50 euros...bof!

steyr a écrit:

J'ai eu mon C.A.P. d'horloger à 32 ans. Et je suis, comme je le disais, dans ma première année de BAC pro.

A cet âge une reconversion poserait plusieurs problèmes. Redémarrer de zéro ne me gène pas en soi, mais avec une famille à charge, c'est quelque chose qui se réfléchit à tête reposée.
Et puis un profil atypique, "un peu bon partout", mais excellent nulle part. Difficile de trouver sa place dans une manufacture. Mais il faut dire que je n'ai pas encore vraiment cherché.

Voilà, tout ça est à réfléchir... mais c'est une vraie volonté pour du moyen terme.

Christian.

Ah ok, comme j'avais pas vraiment suivi, je croyais que tu étais encore au lycée autant pour moi l'ami, et je trouve que tu es tres responsable et raisonnable en tant que chef de famille

Pas moi, je l'ai déjà fait et j'ai vécu de ma passion pendant 10 ans.C'était super mais le rapport à la passion change quand cela devient alimentaire et non plus récréatif.
Mais c'est juste mon avis...

Alain123 a écrit:

.........à vivre sa passion horlogère et en faire son métier ?

y'en a qu'on essayé ....





et ils ont eu des problêmes

leon a écrit:

Alain123 a écrit:

.........à vivre sa passion horlogère et en faire son métier ?

y'en a qu'on essayé ....















et ils ont eu des problêmes

Encore un clavier ruiné chez moi !

T'as bouffé un clown ou quoi ? !

Excellent !

Travailler dans le marketing/managment pour une grande marque de montre, ça me plairait plutôt perso. Après, quand ça se rapproche du mécanique, je sais pas faire, je suis pas manuel !

Thomas a écrit:

le rapport à la passion change quand cela devient alimentaire et non plus récréatif.

Tout est dit...

Passionné par l'horlogerie et la joaillerie, ca serait un rêve pour moi de pouvoir évoluer dans l'un de ces domaines, non dans le milieu technique parce que je ne suis pas du tout manuel ( ), mais plutôt dans le marketing...
Enfin bon, l'avenir me le dira...on verra ce que je deviendrai dans 3/4 ans

Thomas a écrit:

Pas moi, je l'ai déjà fait et j'ai vécu de ma passion pendant 10 ans.C'était super mais le rapport à la passion change quand cela devient alimentaire et non plus récréatif.
Mais c'est juste mon avis...

tout à fait d'accord. C'est comme cela que j'en suis venu à mon métier actuel et j'ai la même expérience. Cela ne me pose pas problème car j'ai pu ainsi trouver un job suffisament lucratif pour pouvoir vivre et financer d'autres choses. Mais je ne le ferais pas une deuxième fois.

Alain123 a écrit:

.........à vivre sa passion horlogère et en faire son métier ?

Pas moi, pas envie: c'est une passion et j'ai bien envie que ça le reste.

Si je commence à vouloir bosser dans ce que j'aime, j'aimerai être:
Expert automobile
Horloger
Armurier
Cuisinier
Fromager
Oenologue...

En revanche, je souhaite élargir mes connaissances horlogères.

Dès que la passion devient travail, ail,ail,aïe...Perso c'est mon travail qui est devenu une passion, heureusement parce qu'au début de ma carrière c'était pas le cas !
Quant a bosser dans l'horlogerie, Pierre un passionné de tocantes vient de se lancer en ouvrant une boutique neufs et vintages au Luxembourg (l'atelier de Pierre), je lui souhaite bonne chance et c'est a lui qu'on devrait maintenant demander l'avis! frz

Depuis plus de 30 ans je vis de ma passion, c'est à dire de la collection.
Mais une chose est sure, je ne commencerais pas aujourd'hui ce genre de job.
Trop aléatoire, et surtout plus de clients fidélisés.
Le métier de la collection meurt tout doucement.
Le Net, à travers Gogolle n'a pas arrangé cette situation.
80% d'un public lambda est "parfumé".
Et plus personne n'ira vendre sans se renseigner à outrance.
Quant à être marchand de montres, faut une sacrée paires de burnes .....
Dans l'occasion, pas dans la collection, c'est encore un autre créneau.
Alors, il est evident que ces marchands gagnent leur argent à l'achat, et si ils n'ont pas les mains de Jack l'Etrangleur, ils n'iront pas loin dans ce job !!!!
Se positionner dans l'occase, je me suis toujours demandé comment ils faisaient pour se démarquer les uns des autres ...
A celui qui baissera le plus vite le futal, probablement .....
Pas un métier, ça ....
Faire un prix sur un objet, certes, c'est l'évidence même. Entamer un dialogue avec un collectionneur ( qui la plupart du temps en connait plus que le marchand, ou tt autant ) est sain, et agréable, car dans 99% des cas, nous savons, l'un et l'autre que l'affaire est conclue.
Mais entamer un dialogue sur, et uniquement autour d'une remise, qu'elle misère !!!!
Pas bon du tout comme approche, mais normale, car, le type qui cherche une Sub Date, avec boite et papiers, est sur de pouvoir mettre la main dessus en moins de 10 jours.
Et c'est le prix, et uniquement le prix ( le reste c'est du pipo ) qui vas décider le client.
Naturellement, à contexte égal, et je fais l'impasse sur les gros nazes qui ne se lévent même pas quand un client entre dans la boutique.
En tt cas, bonne chance à tous ceux que cette drôle d'aventure pourrait tenter.
Mais cela étant, ce sera toujours plus facile que d'avoir un singe sur son dos 8 heures par jour.
Et dans la collection, toujours privilégier le rare, quitte à le surpayer.
Un bel objet remonte le moral, et il sera toujours trés facile à vendre.
Par exemple, objet trés simple à vendre .... 150 exemplaires dans le monde ...

Ou ça, dans une configuration neuve :

Sans même aller chercher ce truc :

Le plus difficile à vendre ( à son tarif normal) est de loin la montre.
Et la montre est de trés loin, l'objet des Arts Décoratifs et appliqués le plus complexe à négocier, tant à l'achat ( en maison ) qu'à la vente.
Mystére ..... que je ne cherche pas à éclaircir .....