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Notre ami Joseph est plus que jamais en embuscade contre les historiens de pacotille qui se recopient les uns les autres sans étayer leurs affirmations péremptoires.
Mine de rien, son plaidoyer pour Sarton (comme inventeur de la montre automatique) fait son chemin dans les esprits libres.
On ne nie plus l'existence de Sarton, on admet plus ou moins que les mouvements attribués à Perrelet sont peut-être de Sarton, on équilibre l'invention du mouvement automatique entre Sarton et Perrelet. C'est un progrès, mais pas encore la victoire finale du point de vue de Joseph.
Qu'on se rassure : il n'a pas dit son dernier mot !
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