- Milou a écrit:
- Bravo Laurence! Félicitations pour le travail réalisé.
Bonjour Milou ,
Et de deux !
A tes félicitations , j'associe les miennes ... !
J'ajoute que cette tâche a été menée à bonne fin , sa réussite a été due pour la plus grande partie
grâce à l'excellence de tes conseils avisés... (ici
aussi des félicitations s' imposent !)
Ton élève était "en de bonnes mains"....
D'ailleurs je lis avec plaisir que tu es déjà retenu cet hiver pour une "Comtoise" ...
Si mes souvenirs sont exacts , ce domaine... aussi .... tu dois le connaitre ..
Pourvu que notre Laurence Nationale ...
ne possède pas ... , sait' on jamais , une bonne vieille
horloge d'édifice .... (Tu dois aussi connaître... ... ces gros-machins de clochers ...)
Il reste donc du pain sur la planche .... et des bons moments à passer !
SÛR !Le drame , à la retraite , étant de ne rien avoir "à foutre" !
Pour clore , un détail à connaitre , qui , sauf erreur , n' a pas été évoqué lorsqu'il a été parlé du réglage ...
il pourrait servir ultérieurement :
Le réglage sommaire et grossier s'effectue par le déplacement de la lentille du balancier ,
çà , tout le monde le sait !
Mais lorsque l'on veut "fignoler" son réglage final , point n'est besoin de re - déposer
timbre de sonnerie et balancier ... il existe sur la face avant , juste au dessus du cadran
et du "12h00" un tout petit orifice avec en son centre un petit "carré" acier ...
C'est tout simplement un bouton de commande permettant de faire monter (ou descendre ...)
un coulisseau ayant action sur la longueur "active" de la suspension , donc générer avance ou retard ...
On peut compter son efficacité en secondes ....!
Voilà tout , sauf que , encore ....
Les "Pendules de Paris " étaient vendues avec leur
propre-clé , avec deux "carrés" :
Un pour les arbres de barillet et l'autre , le "petit" pour procéder au réglage fin !
(à défaut , une petite pince plate fait l'affaire !
Avec mes salutations matinales à tous !
bm