En ces temps où il fleure bon l'ultra conservatisme, le retour dix ans auparavant, où il est de bon ton de douter de l'utilisation abusive des mouvements ETA, et surtout où l'on s'interroge particulièrement sur la valeur des montres, quid du rapport qu'entretiennent les marques avec le marché de l'occasion? S'y interessent-elles?
N'y a -t-il pas un paradoxe entre la volonté d'écouler des nouveautés et des clients qui refinancent l'achat neuf par la revente?