Il y a 9 ans, un plongeur Gallois, Hughes Rich, découvrait une épave vieille d'un siècle au large de la côte de Pembrokeshire. Incrustée dans les sédiments, une montre de poche en argent gravée du nom de son propriétaire était restée quasiment intacte.
Hughess'est alors engagé dans une recherche folle pour retracer l'histoire de cette montre et retrouver la trace de la famille de son propriétaire.
L'inscription lisible sur la cuvette de la montre est "Richard Prichard, Abersoch, North Wales, 1866." La montre de poche a été sans doute un cadeau à Prichard, quand il a été promu lieutenant en 1866, de ses camarades de bord ou de ses parents.
Hughes a recherché auprès de la Lloyds à Londres et auprès d'une foule de ressources dont l'historien David Roberts.
Roberts a alors cherché dans les cimetières des églises locales et a finalement retrouvé deux références à Richard Prichard.
He also found a reference to Prichard on the Welsh Mariners' Web site, showing that Prichard was captain of an iron-clad barque called the Barbara. Il a également trouvé une référence à Prichard sur un site web. Ce site mentionnait que Prichard était capitaine d'un fbateau appelé Barbara. Il nourut en 1881 alors que le Barbara était en route pour Rangoon, qui est moderne aujourd'hui à Yangon, au Myanmar. Son corps fut jeté à la mer. La montre fut perdue à bord sur le trajet du retour au Pays de Galles, avec une cargaison de riz.
La montre fut probablement ramenée pour être restituée à la veuve du marin mais par une nuit de Novembre, sous une pluie battante et des vents violents, Jones qui ramenait le bateau a pris un mauvais virage et s'est retrouvé coincé dans le canal de Bristol, le long de la côte sud du Pays de Galles ».
On connait la suite ... Un siècle plus tard !
Source :
http://edition.cnn.com/2009/WORLD/europe/08/20/watch.mystery/index.html
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Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).
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