Réparation sur une Omega Constellation des années 60s

Pour participer au post :

loupe à l'oeil a écrit:

Pour participer au post :
...

effectivement on voit une très nette différence, superbe photo LOA, et c'est vraiment propre là pour le coup.

carlgustav a écrit:

Des symptomes de ce genre proviennent parfois d'accrochage momentané de l'avant dernière spire au piton ; un autre choc le libère et tout rendre dans l'ordre; ou encore un désaimantage, surtout s'il s'agit d'un spiral bleu.

Le plus vraisemblable reste cependant, comme dit plus haut, les spires qui collent, sous l'effet d'huile balladeuse...

Autre hypothése s'agissant d'une auto, une" révision " avec nettoyage à la Vibrasonic, barillet en place et sans regraissage après !

Ressort et barillet peuvent alors être remplacés de concert.

Je pense qu'effectivement certaines choses peut être faites pour améliorer les choses.... mais à quel prix... 2 horlogers m'ont dit déjà plus de 200€.... vu le prix que j'ai payé pour une montre dans cet état, remettre 200€ pas d'accord.........j'ai déjà recontacté qui de droit....
De toute façon j'ai à chaque fois les mêmes remarques : barillets en mauvais état, couronne voilée, abimée, sans pièce pour bloquer la couronne, qui peut sortir sans trop d'effort..... L'horloger d'hier m'a dit déjà que beaucoup de pièces manques, où ne sont pas d'origine (une pièce pour bloquer le mécanisme dans le boitier, la vis du col de cygne, les pièces de maintien ne sont pas bonnes, même le fond n'est pas à la bonne taille!!)

Un véritable "patchwork" cette montre, pourtant elle paraissait pas mal sur les photos du vendeur, j'avais hésité à un moment

oui, un vrai patchwork.....
du coup ca va attendre pour essayer de la remettre en état, ou trouver un horloger en Province plus raisonnable....

Exemple caractéristique des aléas de l'achat en ligne, sur photos, avec l'idée préconçue qu'une piéce d'occasion, mais de marque apporte certaine garantie au plan fonctionnel.

Il n'en est rien, bien souvent les montres de marque vintage sont tant bien que mal remises en ordre, parfois prétendues révisées, pour profiter de l'engouement actuel pour ces pièces.

Toute personne revendiquant l'appellation " révisée ", devait alors fournir à l'acquéreur des indications telles que: amplitudes, marche diurne, et reserve de marche, qui pourraient alors être contrôlées à reception, pour les deux premières en quelques minutes par un horloger, et pour la dernière par l'utilisateur lui-même.

Quelques margoulins, pas tous hélas, se trouveraient ainsi un peu embarrassés.