Une montre à quartz peut-elle être de la haute horlogerie ?

Quartz peut-être pas, mais Mécaquartz

"THE MÉCA-QUARTZ MOVEMENT

The JLC calibre 631, developed in 1987, should never be mistaken for a mere quartz movement. It is a mechanical chrono module coupled to a quartz movement by ingenious stepper motors. The watch contains 222 mechanical parts and 25 jewels, which is more parts than many automatic watches can boast. This construction reduces the thickness to only 3.7-mm-compare with 6.5 mm, 7.9 mm, and 8.5 mm for the Zenith El Primero, the Valjoux 7750 and the Lemania 5100, respectively. The JLC calibre 631 may very well be the world smallest chrono movement, taking up only one-third the space of a purely mechanical movement. There is a method to this quartz madness: reducing bulkiness, the Achilles' heel of a mechanical chrono."

Un autre avis (Sorry, encore en anglais ) d'un amateur éclairé...

"The finish of the mechanical portion of this movement would be exceptional in a purely mechanical watch, in a quartz watch it is extraordinary. The watch has 25 jewels. Given that in a mechanical watch there are 5 jewels for the balance (2 pivot jewels and 2 end stones for the staff and one roller jewel) plus at least 4 jewels for the lever (2 pivot jewels for the arbor and 2 pallet stones), this count is huge for a quartz watch. Every visible pivot is jeweled. The plate and bridge and even the battery cover are decorated with Geneva Bars. The levers that control the chronograph function are polished. The plates, bridges and chronograph levels are all rhodium plated.
The screws holding the plates and bridge are blued while the ones connected with the chronograph are polished. One large screw is gold and I suspect, from its location, that it is used to regulate the quartz circuitry. As with all JLC Master Control watches, it went through 1000 hours (41 days) of testing."

In fine, il me semble que le système CREDOR ne soit qu'une simple dynamo ; avec les asservissements-qui-vont-bien. Il n'y a (me semble t'il) à priori aucun REGLAGE à prévoir si ce n'est le bon ajustement des différents et nombreux éléments électro-mécaniques qui la composent.

Cela ressemble en effet à de l'horlogerie ; mais ce n'est pas le nombre élevé de rubis qui modifie la problématique.

Chaque montre produite ressemblera hélas, banalement, à sa petite soeur.

LUTEC'S a écrit:

In fine, il me semble que le système CREDOR ne soit qu'une simple dynamo ; avec les asservissements-qui-vont-bien. Il n'y a (me semble t'il) à priori aucun REGLAGE à prévoir si ce n'est le bon ajustement des différents et nombreux éléments électro-mécaniques qui la composent.

Cela ressemble en effet à de l'horlogerie ; mais ce n'est pas le nombre élevé de rubis qui modifie la problématique.

Chaque montre produite ressemblera hélas, banalement, à sa petite soeur.

Les mouvements springdrive sont auto régulés par système de feedbacks à la manière de l'électronique à rétroaction : Si la roue va trop vite, la ddp générée sera plus importante et le champs magnétique sera plus grand -> la roue sera freinée. Si la roue va trop lentement, la ddp diminue et le champs magnétique diminuera également -> la roue sera moins entravée.

(je schématise, il s'agit en réalité de variations de fréquences de champs magnétiques qui permettent d'accroitre ou non la quantité de courant de Foucault et de forces de Laplace dans le "tri-synchro". )