Bonjour à tous, c’est encore moi…
Une nouvelle revue photo…ben oui !
Ce soir, je vous « montre » ma Omega Seamaster Pro 300.
Je possède cette montre depuis quelques mois, achetée d’occasion, elle n’était pas prévu dans ma « roadmap », mais elle est des atouts…
Pourquoi cet achat ? :J’avais envie d’une montre, bonne à tout faire (celle pour se rouler dans le boue), mais respectant la dynamique horlogère dans laquelle je me suis inscrit. Bon, j’avais pas trop d’argent en poche et en faisant le tour, celle qui revenait souvent dans une gamme de prix décente en occasion tout en ayant un nom « prestigieux » et qui plus est cosquée était l’Omega Seamaster.
Pourquoi je la trouve sympa ? :Ben, en vérité, je ne la trouvais pas sympa, pas jolie même, un côté tellement passe partout, sans aucun signes extérieurs d’horlogerie moyen de gamme. Cependant, je la savais solide, fiable, étanche, précise. Alors j’ai foncé.
La montre :Le boîtier :Il est en acier, tantôt mat (quelle maîtrise dans ce domaine !), tantôt satiné. Les cornes reprennent, que très légèrement, le code cosmétique identitaire de celles de la Speedmaster. Le fond est vissé est le mouvement n’est pas visible, le fond d’ailleurs, possède des gravures en forme synuzoidales, comme des vagues, paraît il que s’est un « truc » anti-glissement, de la montre sur une éventuelle combi de plongée. Au centre du fond, la fameuse hippocampe.
La lunette, elle, unidirectionnelle, présente un profil très bien fait, joliment usiné, un côté visuellement, qui fait écrou. Sont insert, est banalement affublé des éternelles, mais obligatoire échelle temps pour les paliers.
La couronne, à 3h est elle vissée et logotée, tout comme la valve Hélium, située à 10h manuelle.
Le verre :Il est en saphir, très légèrement bombé, il n’est pas traité anti-reflet.
Les aiguilles, le cadran :Les aiguilles en acier poli, ont elles, une forme bien particulière, basée, forcement sur la lisibilité. Les 2 aiguilles principales, sont creuses en leur centre, celle des minute est terminée par un cercle, celle des minutes par un triangle, bien vu. Celle des secondes, possède un petit rond et son extrémité est peinte en rouge. Le traitement lumineux est parfait.
Le cadran, bleu foncé, reprend les formes de vagues du fond, il ne s’agit pas d’un guiochage, mais d’un relief créé par une application de peinture, enfin je pense. Les index circulaires, non cerclés sont relativement bien proportionnés, il n’y a qu’à 12h, que l’on retrouve 2 bâtons. Là encore, le traitement lumineux est impressionnant d’efficacité.
Le bémol, vient du guiche date, ou le disque est blanc, ce qui sur un cadran foncé, choc un peu.
Je vous fais grâce de la littérature COSC etc.
Le mouvement :Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de le présenter, cependant, j’insiste sur sa régularité chronométrique, non, ce n’est pas du vent le COSC…
Le bracelet :En acier, il est composé de plusieurs maillon, formant une chaîne, le même principe que des chenilles de blindé. Il est relativement bien conçu, massif et très agréable au porté, malgré, un poids important. La boucle déployante sécurisée, par 2 boutons latéraux, est elle aussi en phase avec le thème de prédilection de cette tocante, en effet, une rallonge pour la combinaison est « planquée » dans la dite boucle. Point de réserve, le système à goupille, pour relier les pièces du bracelet entre elles, n’est pas optimal je trouve…Rien ne vaut des visses, AMHA.
Etanchéité :300m.
Les photos ! :ZOOM :Tout un symbole…
Cadran > noter l’extrémité de l’aiguille des seconde, patinée, elle est devenue saumon (en même temps pour une montre de plongée...).
Les aiguilles.
Le fameux rendu « écrou » de la lunette.
Une lunette ergonomique, mais dure à tourner avec des gants.
La valve hélium.
La littérature.
Une corne.
La couronne.
Le jeu de lumière sur les surfaces.
Détail du bracelet.
Le brossage, un art maîtrisé chez Omega.
Le système de « rallonge » de la boucle déployante.
Vision nocturne.
Pour le fun, une photo permettant de voir le cadran et ses vagues.
Au poignet :CONCLUSION :Cette montre, malgré la démarche de base lors de son achat, est très attachante. Elle est fiable et on s’en rend vite compte, si ce n’est que par sa régularité. Dans l’absolu, malgré un poids conséquent, elle est relativement agréable à porter et sa lisibilité est un régal, un rapide coup d’œil sur le cadran et l’heure se matérialise.
Autre point fort, la réalisation et son niveau de finition, tout simplement au dessus de certaines grandes marques, réputées, voir très réputées.
Une montre que je conseille vivement pour ceux, qui comme moi veulent, sans se ruiner, avoir une montre de nom, cosquée et solide. Mon nom est 78, baba78………