JC Biver n'est pas le patron d'une association caritative, le pourquoi des prix, tout le monde le connait ; La question était de portée générale, pas un sujet pour lui faire sortir les kleenex. Les montres sont des objets de luxe, nous ne sommes pas dans les produits de première nécessité. La générosité qui voudrait qu'une montre mécanique fut accessible à tous n'a aucun sens. Quand je lui demande si les montres sont trop chères, le sens de la question est : L'horlogerie s'est-elle trop emballée ces dernières années et la surenchère n'a-t-elle pas contribué à la crise ?
JC Biver fait une réponse "généreuse" qui n'a rien d'une langue de bois. Il explique simplement implicitement qu'il n'a pas le pouvoir de défaire les tendances de prix du secteur.
Ce que d'aucun appellent le pékin moyen, tout le monde s'en fout à juste titre. Autant son sort préoccupe tout le monde pour acheter du lait et des aliments pour ses enfants autant pour acheter une montre de luxe, ses regrets émeuvent autant que ma propre émotion peut le faire lorsque je constate que je ne pourrai jamais me payer une villa à Los Angeles.
La langue de bois serait de se lamenter sur le pékin... C'est un peu la manifestation des jeunes directeurs de banques imaginée par Coluche.
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Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).
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