Je ne me sépare jamais de mes Zénith , ce serait trop dur. Je l'entends d'ici hurler de douleur
avec cette pièce qui fait levier sur son fond,
ce tournevis qui lui attaque les fixations
s , cadran oté de son calibre , ses aiguilles orphelines
La terrible douleur de la séparation ...
Je compatis pleinement à ta douleur, "Une début d'automne sans Zénith est un hiver sans fin"*
* Raymond Flouchard dit Flouchard dans , "Ma vie, mon histoire , mon oeuvre " aux édtions Flouchard Père.
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Contraria contrariis curantur. (Les contraires se guérissent par les contraires).