Ayant eu à revendre, contraint et forcé par des impératifs financiers, la quasi-totalité de mes montres aux début des années 2010, il était prévisible que bon nombre d'entre-elles allaient me manquer.
Là où j'ai eu beaucoup de chance, c'est qu'une décennie plus tard j'ai pu racheter 2 de ces tocantes aux personnes à qui je les avais respectivement vendues. Ma Speedmaster de 1969 et ma Cosmonaute de 1987 sont donc revenues dans mon coffret de montres que, dans un monde idéal, elle n'auraient jamais dû quitter.