Comment le Cornavirus a contaminé le luxe jusqu'à tuer les détaillants - Billet

Dans le monde de la distribution, l'avenir n'est pas au tout digital ou au tout physique mais bien à la multicanalité et à la complémentarité entre les différents canaux de distribution (boutiques physiques, internet, services clients).
On peut imaginer une rétribution partagée de type apport d'affaire sur une vente débutée en show room et finalisée sur le digital. C'est le cas dans ma boîte et ça marche.
Je reste persuadé que les boutiques ont leur rôle à jouer dans l'écosystème d'une marque de luxe quelle qu'elle soit. Pour jouer le rôle de vitrine produit et de conseil. De vecteur d'image et d'expérience client surtout, et peut être moins pour la vente pure et dure.
A mon avis celles qui sauront jouer la complémentarité entre leurs différents canaux de distribution (et maintenir un réseau de boutiques) seront celles qui survivront.

On dirait une lettre de motivation

Personne pour parler du marché gris alimenté par les ad à qui il est interdit de vendre sur internet?


Que les marques ouvrent leur propre e-commerce ne devrait pas trop déranger les ad puisque ils vendent les montres sur chrono24 entre autre moins cher que le prix catalogue.

Diverp7 a écrit:

Personne pour parler du marché gris alimenté par les ad à qui il est interdit de vendre sur internet?

T’es sûr que tu as vraiment lu le fil ou je pisse dans violon ?

Stéph.

KrissBZH a écrit:

T’es sûr que tu as vraiment lu le fil ou je pisse dans violon ?

Stéph.

Non non t'inquiètes,j'ai bien lu ton message précédent.

Diverp7 a écrit:

Non non t'inquiètes,j'ai bien lu ton message précédent.

OK. Je pense donc qu’on est en phase !

Stéph.

Le jour où Rolex vend en ligne au prix boutique pour court-circuiter les AD prévenez-moi quand même que je reste pas dans l'ignorance. 

Toutes blagues mises à part je ne vois pas le problème pour les marques que de vendre en ligne. Quant à leur politique vis-à-vis des AD... Si les AD ne l'acceptent pas libre à eux de délaisser lesdites marques. Elles changeront un jour de politique commerciale... Sauf à s'appeler Rolex, mais je comprends alors que pour les AD c'est aussi une manière d'attirer les gens en boutique que de vendre Rolex. Et alors là c'est gagnant gagnant.

Bref rien de nouveau, la loi de l'offre et de la demande en B to B vs B to C... 

Enfin, en tant qu'acheteur de montres de mon coté c'est boutique ONLY sauf cas très exceptionnel d'une montre introuvable. Donc je ne suis de toute façon pas client des sites des marques. 

Pas client non plus à prix équivalent entre le site de la marque et le prix boutique !